Elles, Ils, ont tout bu, ou presque, tout entendu, ou presque,  tout vécu, ou presque, tout vu, ou presque... Elles, Ils, libres à nouveau, ou presque, témoignent sur cette 28e édition inoubliable de « POLAR » Le Festival de Cognac qui a retrouvé son punch d'avant 2020, ou presque...

 

 

30/10/2023

 

          Chère Dany, cher Bernard, encore un immense merci pour votre invitation. C'était, en cet automne 2023, ma première participation au Festival, et, je dois l'avouer, mon premier passage dans cette jolie ville de Cognac. C'était tout simplement parfait, et je tiens à remercier l'ensemble des bénévoles pour cette organisation au cordeau. J'ai adoré toutes ces rencontres, et le partage avec les lecteurs, pour beaucoup curieux et amateurs de polars. Encore merci, j'espère à une autre fois !

          Amitiés,

 

          Fabrice TASSEL

 

 

 

          Le festival de Cognac était une première pour moi. J’ai rencontré une équipe d’une grande gentillesse.

          Je remercie particulièrement Bernard et Dany, merci à tous les deux pour votre accueil, votre main tendue et j’espère avoir le plaisir et l’honneur de revenir pour un futur épisode, un chapitre, une saison, un nouveau tome… bref une nouvelle aventure.

          Merci à tous !

         

          Xavier MASSE

 

 

 

          Merci pour votre dynamisme et votre enthousiasme. Cette troisième fois a été l'occasion de beaux fous rires et de belles rencontres et il n'y a rien de plus précieux !

 

          Cécile CABANAC

 

 

          Moment magique, interdisciplinaire là où le polar se niche, la réalité apparaît : celle d'une grande famille - du cinéma, du théâtre, des arts vivants, comme celui du récit…

          Le polar c'est un oncle germain réalisateur de film, c'est un cousin par alliance acteur, une belle-fille qui revient avec son nouveau roman, une grand-mère attachante et son scénario… Le temps d'une cousinade. Un moment riche d'émotions, de rencontres, d'échanges.

          Cette famille n'a rien de conventionnelle ; elle est juste exceptionnelle.

 

          Jérémy BOUQUIN

 

 

29/10/2023

 

Une 28ème édition à nouveau exceptionnelle. Un festival à la croisée des chemins du polar et des imaginaires tant littéraires qu’audiovisuels, mais aussi un lieu de rencontres privilégié entre les créateurs et le public. Un grand merci à Bernard et à tous ceux qui œuvrent dans l’ombre pour nous offrir ce rendez-vous unique.

 

          Estelle THARREAU

 

 

 

          Le Festival du Polar de Cognac, c'est un rendez-vous incontournable pour tous les amoureux du noir sous toutes ses formes, mais aussi un lieu d'échange unique dans lequel les passionnés se retrouvent dans une ambiance qui ne change pas au fil des années.

          Cognac, un état d'esprit, une tradition.

 

          Luca TAHTIEAZYM

 

 

          LA FABRIQUE DES FRATERNITÉS !

Le Festival Polar de Cognac, c’est une fabrique de fraternités. Fraternité entre les genres : télévision, cinéma, bande dessinée, roman. Fraternité entre les auteurs, réalisateurs, interprètes, qui y trouvent le lieu idéal pour nouer des amitiés. Fraternité entre auteurs et lecteurs. Fraternité entre bénévoles et professionnels.

Il me semble en outre, que deux personnes pourraient ne pas détester de s’entendre qualifier de "faiseurs de fraternités" : Bernard et Dany Bec, dont toute la vie, me semble-t-il, vise à cela : rapprocher, sans les confondre, les gens, les sensibilités, les opinions, les rêves.

Merci au Festival Polar de Cognac !

 

Frédéric LEPAGE

 

 

27/10/2023

 

          Comment ne pas être heureux de ce cru 2023 : Prix « COGNAC » du Meilleur Roman Francophone. Outre, cette satisfaction, encore de sacrés bons moments avec tous les polardeux.

          Retrouvailles avec certaines et certains, et découvertes pour les autres. Je suis revenu avec une valise pleine de livres dédicacés. Que du bon !

          Merci à Bernard, Dany et toute l’équipe.

 

          Christian BLANCHARD

 

 

 

          Lorsque les éditions du Caïman m’ont appris que mon premier roman noir, Fatum, était sélectionné pour le Prix 2023 des Bibliothèques et Médiathèques de Grand Cognac, je n’en suis pas revenue. J’étais vraiment très émue !

          J’ai donc été invitée au 28e festival Polar de Cognac où mon mari m’a accompagnée – ce n’est pas tout près de chez nous, je ne connaissais pas du tout la région. Ce que j’en ai vu m’a ravie.

          Au festival Polar de Cognac, tout est fait pour qu’on se sente bien, du cadeau de bienvenue aux repas et aux vins somptueux, en passant par la sympathique séance photo ou la soirée d’ouverture. Sens de l’accueil, humanité et générosité y sont au rendez-vous en permanence.

          Alors certes, je n’ai pas obtenu le Prix dont je rêvais, mais j’ai fait tellement de merveilleuses rencontres, avec d’autres autrices et auteurs de polar, avec des cinéastes, des actrices, des acteurs, avec des lectrices et des lecteurs aguerris, avec des bibliothécaires passionnées, que cela m’a consolée. Je crois que ce que j’ai rapporté de Cognac – et je ne parle pas de la bonne bouteille acquise pour l’occasion – vaut tous les Prix du monde.

          En effet, pour la première fois depuis que j’écris, j’ai eu l’impression euphorisante de rencontrer mes pairs, « ma bande », des inconnus qui ne le sont pas restés très longtemps, des écrivains, des artistes, qui partagent non seulement mon goût pour la lecture, la langue, le ciné mais aussi mes valeurs. Au festival Polar de Cognac, ce n’est pas la compétition qui prime, même si elle est présente, mais bien l’humour, la solidarité, la bienveillance.

          Pour avoir moi-même coorganisé autrefois un salon du livre dans la ville où j’habite, je sais l’engagement et l’investissement que cela représente. C’est pourquoi, même si c’est bien peu au regard de ce qu’ils nous ont apporté, je tiens à remercier vivement Bernard et Dany, les « piliers » du festival, ainsi que tous les bénévoles et les professionnels (cuisinier, photographe…) qui travaillent d’arrache-pied durant toute une année pour faire de cet évènement un moment unique, privilégié, hors du temps. Très sincèrement : merci !

 

          Sylvie CALLET

 

 

 

          Le Festival de Cognac est un incontournable pour tous les amoureux du polar, sous toutes ses formes d'expression : BD, romans, films, séries, courts-métrages…   L'ambiance conviviale permet d'approcher et d'échanger avec les auteurs tous disciplines confondues.

          Et que c'est agréable d'être accueilli par des vrais passionnés de cinéma ! On se sent bien à Cognac…

          Merci encore à toute l'équipe du festival !

 

          Jean-Philippe CILLARD

 

 

 

          Vous êtes formidables… Quel accueil ! Longue vie à ce festival merveilleux ! 

 

          Arnaud MIZZON

 

 


 

ELLES, ILS, sont venus de près, de loin, du Nord, de l'Ouest, du Sud-Ouest, de l'Est, du Sud-Est et du Centre… avec moins de contraintes que lors des deux dernières éditions, ELLES, ILS, ont vécu ce 27e POLAR de Cognac. ELLES, ILS, Témoignent… Merci !

 

 

 

 

07/11/2022

 

 

          Le festival Polar de Cognac !

          Cet endroit chaleureux, unique et singulier où l’on croise tous ceux qui fabriquent du polar.

          Femmes et hommes, auteurs, scénaristes, dessinateurs, réalisateurs, éditeurs, producteurs, acteurs… tous réunis ici durant quelques jours pour découvrir avec curiosité le travail de l’autre.

          Quelle belle idée !

          J’ai été ravi d’être parmi vous pour cette 27ème édition, d’avoir pu rencontrer et échanger, au milieu d'un public passionné du genre dans une ambiance bienveillante et familiale.

          Bravo et merci pour tout à Bernard, Dany, et leur équipe formidable !

 

          Ivan FEGYVERES

 

 

          Cher Bernard, Chère Dany,

          J’ai été heureux et honoré de participer au festival de Cognac et d’avoir pu présenter mon film devant un public nombreux et enthousiaste. Nous avons été très bien accueillis et soutenus tout au long de ces 3 jours, entourés d’organisateurs et volontaires aux petits soins, de professionnels de tous bords (télévision, cinéma, fiction, bandes dessinées) et de spectateurs passionnés.

          Pouvoir échanger sur son métier, sur ses projets, sur ceux des autres a été un plaisir et une chance qu’a pu nous permettre ce festival.

          Je vous remercie chaleureusement de nous avoir offert cette possibilité de voir de beaux films/téléfilms/séries et courts métrages, d’avoir pu faire la rencontre de personnes passionnantes et d’avoir passé un si bon moment.

          C’était la première fois que nous venions, j’espère que ce ne sera pas la dernière.

          Et quel bonheur de recevoir le Grand Prix du long métrage pour « Déflagrations » ! Tous nos remerciements à vous tous qui y avez mis autant de cœur et d’énergie.

          Avec toute mon amitié,

 

          Vanya PEIRANI-VIGNES

 

 

          « Deuxième année où je suis invitée au Festival du Polar de Cognac, deuxième année où mon roman est sélectionné pour le prix du meilleur roman francophone. La concurrence est rude, la liste des auteurs sélectionnés est impressionnante. Le vendredi 14 octobre 2022 arrive enfin. Il est 19h30, la cérémonie de la remise des prix peut commencer… Je m’installe le cœur battant. Les discours commencent, puis mon nom est cité pour le prix. C’est un choc… J’arrive sur scène. Le prix est là, il m’attend. J’ai le cœur qui bat, j’ai envie de pleurer sous l’émotion. J’ai du mal à réaliser ce qu’il m’arrive… Ce fut ensuite deux jours de folie, où je n’ai pu redescendre de mon nuage. C’est un rêve qui se réalise. Les lecteurs ont été présents, l’équipe du festival m’a entourée avec beaucoup de gentillesse… Je n’ai pas de mots pour décrire tout ce que j’ai pu ressentir.  Encore un grand merci à Bernard, à Dany et à toute l’équipe de bénévoles pour votre confiance, cette organisation hors pair, votre accueil chaleureux… Deux jours au Paradis qui sont à marquer d’une pierre blanche ! »

 

          Pétronille ROSTAGNAT

 

 

01/11/2022

 

 

          "Une belle cuvée 2022 avec de belles découvertes littéraires féminines. Je suis en train de lire les lauréates et elles méritent plus que largement leur prix. J'étais déjà fan d'auteures reconnues mais je viens d'augmenter ma liste d'écrivaines dont je lirais systématiquement leurs prochains titres".

           Christian BLANCHARD

 

 

          « Mon premier Festival de Cognac, c''était en 2019, et mon premier roman était sélectionné pour le prix des médiathèques et bibliothèques. Un rêve éveillé qui ne s'est pas interrompu de tout ce week-end-là, même si je n'ai pas reçu le prix. Ce que j'ai reçu à la place était impalpable, beaucoup moins lourd à transporter qu'un trophée de bronze, mais tout aussi émouvant : l'impression d'appartenir (un peu) à cette grande famille du polar que vous réunissez chaque année à travers vos sélections de films, séries et romans. Alors, Bernard, Dany, que dire quand j'ai reçu votre invitation à vous retrouver pour cette 27ème édition de 2022 ! Quelle joie de vous retrouver pour ces 2 jours formidables ! Un très grand merci de m'avoir accueillie parmi vous, de m'avoir ménagé une petite place de façon que je m'y sente si bien. Merci !

          Je vous embrasse » 

         

          Valérie ALLAM

 

 

 

          "Un festival à ne pas manquer, un accueil chaleureux, des films divinement sélectionnés, des pépites à découvrir. Pour les amoureux du cinéma et des polars en particulier. Des films mais pas que ; BD et Littérature sont aussi au rendez-vous !

          Courrez-y dès la prochaine édition !"

 

          Grégory CYR

 

 

 

28/10/2022

 

 

          Le Festival Polar de Cognac, c’est tout d’abord une histoire de passion. On y entre en festivalier, on y sort en passionné. C’est ensuite un état d’esprit. On y participe en déployant son amitié durant trois jours, on y parle de ses découvertes, on y évoque ses déceptions. 
          Le Festival de Cognac est bien plus qu’un Festival, c’est un moment à part, une bulle de partage.

          Le Festival de Cognac est unique. Il a une âme. Depuis bientôt 30 ans.

          Merci Dany et Bernard de cultiver tout cela au fil des années avant de nous le faire moissonner pour notre plus grande joie.

 

          Bertrand PUARD

 

 

27/10/2022

 

 

          Gamine déjà, Cognac sonnait délicatement à mes oreilles. J’avais entendu dire qu’on primait là-bas des gens talentueux. Des créatifs de tous horizons mus par la passion des mots, du dessin et de l’image. Lors de ma première venue en 2019, je me souviens de mon émotion. Arriver dans ce temple du polar et y être sélectionnée a bien chahuté mon palpitant. Et puis, en 2022, j’apprends qu’on me fait l’honneur d’une nouvelle sélection pour le prix du roman noir et là, je me prends à rêver évidemment. Ça dure des mois… Des nuits entières où je me vois recevoir mon trophée en bronze des mains de Bernard !
          Et, le 15 octobre 2022, voilà que le rêve se réalise. Mon dieu, quel pied ! merci Bernard et Dany, merci évidemment aux lecteurs des médiathèques et bibliothèques du Grand Cognac qui m’ont fait ce magnifique et si touchant cadeau ! Je revivrai le film de la cérémonie encore longtemps. Dans les moments de doutes, il sera là pour me remonter le moral et il sera toujours associé à un moment lumineux et plein de joie de ma vie d’autrice ! Merci Cognac et ses adorables et dévoués bénévoles et à bientôt, j'espère !

 

          Cécile CABANAC

 

 

 

          Je me souviendrai de mon premier Cognac. J'étais déjà ravi à l'idée d'y présenter mon court métrage, connaissant la renommée du festival, et quelle ne fût pas ma surprise de recevoir le prix Jean-Pierre Mocky.

          Une ambiance chaleureuse, de belles rencontres, et un accueil formidable, j'espère revenir très vite avec un nouveau film !

          Bernard, Dany, merci encore pour tout.

 

          Aurélien DIGARD

 

 

 

          « Cher Bernard, chère Dany,

          Je suis rentré de cette belle 27e édition ou, comme lors de mes précédentes participations, j’ai reçu de votre part à tous deux ainsi que de toute l’équipe du Festival un accueil des plus chaleureux. Votre passion communicative et la gentillesse de tous les membres de l’équipe et des bénévoles m’ont fait chaud au cœur.

          J’ai pu apprécier plusieurs films de cette belle sélection et faire de belles rencontres parmi les invités, les professionnels présents et le public toujours passionné et bienveillant.

          C’était un bonheur particulier également cette année que d’avoir le privilège d’avoir deux de mes projets mis en lumière. Merci infiniment pour cet honneur.

          J’espère revenir bientôt avec de nouvelles histoires pour partager de nouveaux beaux moments de cinéma à Cognac ! »

 

          Antoine MARTIN-SAUVEUR 

 

 


 

Elles, Ils, ont tout bu, tout entendu, tout vécu, tout vu... Elles, Ils, même pas peur à 100 % en jauge dans le respect des consignes sanitaires, témoignent sur cette 26e édition inoubliable de « POLAR » Le Festival de Cognac qui a pour une seconde édition fait acte de Résistance sous Passe-Sanitaire cette fois...

 

 

14/11/2021

         

 

          Chère Dany, Cher Bernard,

          Cela a tout d’abord été une grande joie lorsque nous avons appris la sélection de notre film au Festival de Cognac, la réputation de ce dernier n’est plus à faire, il est connu de tous comme une référence incontournable du polar. Il faut dire aussi que les deux âmes de ce Festival que sont Dany et Bernard Bec sont exceptionnelles dans leur professionnalisme, leur passion, et leur culture des films.

          Mais au-delà de leur enthousiasme, il y a aussi le chaleureux accueil qui nous est fait, soutenu par une parfaite organisation de ceux qui les entourent et qui sont à leur image, efficaces et toujours disponibles.

          Cela a été aussi passionnant de rencontrer les différents auteurs, acteurs, réalisateurs, découvrir leurs œuvres, et pouvoir partager nos expériences sur nos métiers.

          Ce Festival nous a aussi permis de retrouver la ville de Cognac, si intéressante, et si accueillante.

          Pour finir nous avons été fou de joie et de fierté de recevoir d’un tel Festival le Prix de la Meilleure Série pour le ”VOYAGEUR”.

          Un grand merci pour tout cela.

 

          Sincèrement,

          Lissa PILLU

          Productrice de la série "LE VOYAGEUR"

  

 

07/11/2021

 

          Cette année a été encore une fois extraordinaire. J'attendais cette 26ème édition avec grande impatience pour différentes raisons mais surtout parce que j'avais hâte de retrouver cette belle famille que forment tous les membres de ce festival.

          Grâce à mes différentes casquettes (bénévole, membre du Fan Club, membre du Jury), non seulement je m'enrichis personnellement et humainement, mais également culturellement. Je fais de nouvelles et belles rencontres chaque année, que ce soit parmi les artistes, les écrivains ou le public, et les amitiés créées l'année précédente se renforcent encore plus à chaque édition.

          Chaque année, vous mettez la barre plus haute pour offrir au public une programmation riche où chacun peut trouver son plaisir et qui permet des débats intéressants.

          Vous avez vraiment un don particulier pour réunir des personnes d'univers différents et agrandir ainsi la famille des amoureux du Polar.

 

          Sandrine ROUDES

02/11/2021

  

 

          Cher Bernard, Dany et toute l'équipe du festival,

          Je vous remercie encore une fois pour votre accueil si chaleureux et votre gentillesse. C'est la première fois que j'assiste au festival de Cognac et je ne suis pas déçue, j'ai passé de très bons moments, de belles rencontres et vu de très beaux films. Ce que j'apprécie le plus ce sont les échangent avec le public et les professionnels, ce qui est rare dans certains festivals.

          Ravie de ma première participation au festival Polar de Cognac 2021 et d'avoir présenté mon premier long "Mon fils Malik" en compétition pour le Grand Prix de Cognac !

          Hâte de revenir !

 

          Thitia MARQUEZ

 

  

30/10/2021

 

  

          Je suis venue en 2018 en tant que spectatrice, et le hasard m'a fait revenir à Cognac en compétition. Mais une chose est certaine, je serai revenue avec grand plaisir au Festival du Polar de Cognac… Accueillie avec des sourires et une bienveillance comme rarement on en voit en festival ; j'ai pu à nouveau découvrir de très beaux films et rencontrer des personnes formidables. Car c'est l'esprit de ce festival : les séances où nous voyons tous ces projets prendre leur envol, et les discussions autour d'un café, à parler de nos vies, de nos parcours. Ces moments qui laissent présager d'autres belles créations à venir, et c'est à Cognac que ça se passe.

          Merci du fond du cœur à toute l'équipe du festival pour tout ce travail… Je crois que nous avons déjà tous hâte de vous retrouver l'année prochaine.

 

          Marie BRETON

 

 

 

          Le festival Polar de Cognac reste un excellent souvenir, tant pour la qualité de son accueil que pour son programme éclectique et de qualité. Plus que tout, la programmation met l'accent sur de jeunes cinéastes, constituant un atout pour la carrière de leurs films. Polar porte bien son nom, c'est un festival fait par des passionnés pour des passionnés. Pour autant j'ai eu le plaisir de voir un public large et curieux. En somme un rendez-vous populaire et exigeant, comme peut l'être le polar.

 

          Alexis BRUCHON 

 

 

 

29/10/2021

 

  

          Cela fait 5 ans que je suis auteure de romans policiers et 5 ans que je regarde le festival du polar de Cognac avec des yeux qui brillent. C’est le Graal pour un auteur d’être invité à ce salon. 26 ans de rencontres entre auteurs, dessinateurs, producteurs, acteurs, lecteurs passionnés, bénévoles… Alors quand j’ai vu mon nom dans la sélection pour le prix du meilleur roman francophone 2021, je fus envahie par une multitude d’émotions : la surprise, la joie, la reconnaissance, l’excitation… Puis le Jour J est arrivé. Je n’ai pas vu le temps passer. J’ai été dans une bulle pendant 3 jours, heureuse d’être là, de partager la même passion du polar sous toutes ses formes avec une multitude de personnes toutes plus intéressantes les unes que les autres. L’atterrissage a été difficile, je ne voulais plus repartir. Un grand merci à Bernard et à toute son équipe de bénévoles pour leur gentillesse et leur accueil.

          Une 26ème édition à marquer d’une pierre blanche. Alors, moi, je resigne pour l’année prochaine !

 

          Pétronille ROSTAGNAT

 

 

 

          Je tiens, au nom de l'équipe de "Meurtres sur les îles du Frioul", à remercier chaleureusement Bernard Bec ainsi que toute son équipe, pour l'accueil et la qualité des programmations du festival du Polar de Cognac. Nous avons été particulièrement sensibles à la proximité avec le public et à la simplicité des échanges. Tout est fait pour créer du lien et permettre des rencontres chaleureuses. J'espère sincèrement que le Festival de Cognac offrira au public et aux professionnels que nous sommes encore de très nombreuses et belles éditions !

 

          Stephan KALB

 

 

 

          Des évènements polars avec de bons ingrédients, il y en a beaucoup. Mais des rendez-vous polars qui les réunissent tous, je n'en connais qu'un : Le Festival de Cognac. On y croise toutes les déclinaisons, auteurs, éditeurs, lecteurs, réalisateurs, dessinateurs, acteurs… Ce festival donne envie d'écrire, ne serait-ce que pour avoir une chance d'y retourner. Merci !

 

          Laurent PHILIPPARIE

 

 

 

          Le Polar Cognac est un festival d’une bienveillance et d’une humilité profondément inspirante. L’accueil du public et des participants est fait avec le plus grand respect de l’art qu’il porte. Grâce au festival de Bernard Bec, les grandes portes s’ouvrent aux plus petits et leur donne la possibilité de grandir et de s’épanouir dans le paysage cinématographique.

          Nous sommes très fiers et reconnaissants d’avoir été sélectionnés et d’avoir remporté le Prix Jean-Pierre Mocky et ainsi d’avoir pu participer à cette superbe édition 2021. Un grand merci à toute l’équipe du festival pour son soutien et son amour du cinéma !

 

          Séverine NICOLE & Alexis PIGUEL Glockhome Production

 

 

 

28/10/2021

 

 

          Cette troisième participation au festival était comme un retour à la maison. Chaleur humaine, bienveillance et passion du cinéma se sont encore une fois mélangées dans un festival de talents et de joie communicative. Trois jours d'immersion dans l'univers du polar, du thriller, du policier… bref, du frisson.

          Merci à toute l'équipe, et particulièrement à Dany et Bernard qui ont offert un très joli clin d'œil à nos films cette année ! Hâte d'y revenir !

 

          Romain et Thibault LAFARGUE

 

 

 

          Probablement la plus belle édition du festival Polar de Cognac depuis que je viens comme spectateur et maitre de cérémonie : tout a été réussi ! Évidemment beaucoup de monde, le public encore au rendez-vous, des vedettes qui ont tenu leur promesse (Francis Huster, Laurent Gerra, Nicolas Cuche, tant d’autres…), des films de qualité, des découvertes de talents très prometteurs, des rendez-vous avec les auteurs toujours aussi sollicités, et l’hommage qui me tenait tant à cœur à l’ami Julien Zidi, un familier du festival.

          Le soleil fut au rendez-vous, les sourires aussi. Encore un grand bravo aux bénévoles qui œuvrent avec passion, sous la houlette de mon Bernard Bec adoré et sa Dany de compétition ; à eux deux ils tiennent à bout de bras ce moment de rencontres, et de culture, essentiel !

          Non, pas essentiel, on nous l’a assez répété comme ça, vital, voilà, ils sont et le festival, VITAUX ! A l’année prochaine alors…

 

          François BURELOUP

          Acteur produit localement

 

 

 

27/10/2021

 

 

          C'était un grand plaisir de pouvoir présenter un travail fait pour la télévision sur un grand écran et devant un public nombreux. On a peu l'occasion d'accéder au public et d'échanger avec lui quand on tourne pour la télévision. Mais au-delà de cette joie rare, le festival m'a permis de faire des rencontres comme de renouer avec des personnes trop longtemps perdues de vue, dans un contexte bon enfant et totalement dénué de prétention, juste pour le plaisir de célébrer le genre dans toutes ses incarnations, avec passion et sans arrière-pensée.

          Respect au maître d'œuvre inépuisable, à l'équipe et à tous les bénévoles.

 

          Eric VALETTE

 

 

 

          Je suis très heureux d’avoir participé au prix Jean-Pierre Mocky au festival de Cognac et également de l’avoir remporté. Je suis vraiment fier et touché. Le festival Cognac, est avant tout un festival familial, humain, et d’une grande qualité artistique. C’est un festival où on se sent bien. Une équipe à l’écoute et aux petits oignons autant pour le public que pour les participants. Bernard est un homme exceptionnel, d’une grande sensibilité et qui aime les acteurs, les réalisateurs, les écrivains et ça se voit. Un personnage atypique avec qui on aime partager. Le festival de Cognac est à son image : humain, artistique, et pas prise de tête.

          C'était ma première participation à ce festival et je souhaite à tout le monde de vivre cette expérience au moins une fois. J’espère déjà y revenir vite.

          Merci à toute l’équipe !

 

          Jonathan CHICHE

 

 

 

          Nous avons tourné "Echo" en 2019, suivi d'une période de doutes et de questionnements, de confinements en veux-tu en voilà, voici enfin le moment de nous présenter au festival de Cognac. La sélection était pour nous déjà une grande surprise et une grande satisfaction, mais alors recevoir le grand prix du meilleur court métrage a été la cerise sur le gâteau. Moments inoubliables, accueil 5 étoiles, un festival à taille humaine qui permet une proximité et des échanges avec le public, rencontres enrichissantes et bien sûr… le cognac. Bernard et Dany entourés d'une équipe de bénévoles chaleureux qui ont su rendre ce festival comme le haut lieu du polar en France, et qui perpétuent cette tradition.

          Vive le Festival Polar de Cognac et merci pour la distinction !

 

          Kamil OLEJNIK

 

 

 

          Bien sûr, le festival Polar de Cognac, c’est une rencontre festive, où auteurs de romans et de BD se côtoient, où la pellicule et la vidéo voisinent avec l’encre et le papier, où les univers des uns et des autres s’emmêlent, où l’on s’embrasse, où l’on est heureux.
          Mais si l’on parlait aussi de l’utilité d’une manifestation qui encourage à écrire, à lire, à décrypter des images, à comprendre le monde ? Une manifestation qui contribue à affiner la sensibilité et la réceptivité aux idées aussi bien qu’aux émotions ? Une manifestation qui prend prétexte d’une passion commune – le polar, donc la recherche de la vérité – pour rassembler les âges, les conditions, les cultures… « Utilité sociale » : une formule galvaudée, mais qui me semble bien s’appliquer à la création chaque année renouvelée de Bernard Bec et de sa formidable équipe".

 

          Frédéric LEPAGE

 

 

 

          Le Festival Polar Cognac = un salon + cinq formes d’expression = des moments épatants !

          Des échanges épatants avec un public nombreux, chaleureux et passionné ; des retrouvailles épatantes avec les confrères de la bande dessinée ; un déjeuner épatant en compagnie d’une équipe de tournage ; une soirée épatante dans le château de François 1er ; et une épatante discussion d’après salon avec deux auteurs de roman retrouvés sur le quai de gare.

          Le tout grâce au travail et à l’accueil épatants de Bernard Bec, Dany et toute leur équipe de bénévoles !

          Vivement la 27e édition !

 

          Jeanne PUCHOL

 

 

 

25/10/2021

 

 

          Quel merveilleux week-end !

          Une programmation de dingue dans ce lieu superbe qu'est "La Salamandre", où se côtoient les écrivains, auteurs, dessinateurs, scénaristes, réalisateurs, acteurs, producteurs, sans oublier bien sûr organisateurs et partenaires : un melting-pot des plus délicieux…

          Merci à tous ces gens qui par leur sourire et leur bonne humeur contribuent à ce moment magique.

          Merci à tous ces bénévoles courageux et bienveillants sans qui rien ne serait possible.

          Et enfin merci à Bernard et Dany qui tiennent à bout de bras ce magnifique festival !

          Un seul regret : ne pas avoir eu davantage de temps pour échanger et partager…

          Une seule envie : revenir au plus vite !

 

          Olivier FAURSEL

 

 

 

          Ravi de ma première participation au Festival Polar de Cognac !

          Bien sûr, recevoir le prix de meilleur album one-shot participe à ma satisfaction ! Mais au-delà de la récompense, c’est bien l’accueil chaleureux et bienveillant de son équipe qui illumine ce week-end pourtant intrinsèquement lié à des auspices « noirs » et « sanglants » !

          Et malgré des mesures sanitaires encore contraignantes, le public amateur ou passionné mais toujours curieux et masqué était au rendez-vous.

          Une manifestation pluridisciplinaire aux arômes aussi variés et goûteux, qui comme un Cognac millésimé, offre des émotions durables.

 

          Laurent GALANDON

 

 

 

          Cher Bernard. Merci. 

          Une fois encore, un séjour fantastique dans cette ville de Cognac.

          Mais pourquoi donc venir à Cognac à la mi-octobre me demande-t-on parfois.

          Comment, vous ne savez pas ? Mais parce qu’il s’y déroule un festival passionnant qui me régale chaque fois, et je ne parle pas seulement de l’eau de vie de vin que l’on y déguste à merci, mais aussi de cet îlot, la Salamandre où se côtoient des auteurs, acteurs du cinéma et de l’audiovisuel et surtout le plus important à mon sens, un public chaque année plus nombreux, or, en ces temps de crise sanitaire et autre, ce n’est pas un bilan anodin.

          Le festival de Bernard Bec et de toute son équipe de bénévoles absolument délicieuse nous offre à chaque fois un écrin de culture et de simplicité où l’on se retrouve tous, professionnels et public dans un tout petit périmètre de bonheur pour partager l’amitié, la passion de tous et la curiosité de chacun pour le travail de l’autre.

          Du Polar certes, on adore ça, mais pas que, et enfin ce n’est un crime de s’arracher des livres, des romans, des Bds, des dédicaces, des éclats de rires et des grandes émotions partagés en salle de cinéma ou autour d’une table !

          Le seul hic, c’est que je repars chaque fois avec une valise de plus qu’à mon arrivée, lourde de bouquins et de BD dédicacées… Mais quel bonheur, de découvrir  ensemble, avec le public, tous ces films et ces ouvrages, de rencontrer les artistes, auteurs et créateurs dans un espace sans tralala ni protocole, être juste ensemble et libres de partager simplement nos passions ou notre curiosité.

          Pour moi c’est un séjour délicieux, à plusieurs titres, et qui scelle tout son sens chaque année où j’y retourne.

          Encore une fois,

          Merci Monsieur Bernard Bec.

 

          Bruno DEBRANDT

 

 

 

          Une 26e édition formidable : de très jolies rencontres, un public conquis, souriant et toujours fidèle, de beaux moments de complicité entre les différents invités, un accueil chaleureux et un super accompagnement des bénévoles tout au long du week-end !       Cognac demeure un festival à part dans le paysage du Polar : il est le seul à rassembler auteurs, bédéistes, éditeurs, acteurs, réalisateurs, producteurs… et à offrir cette incroyable richesse émanant de la diversité.

          Longue vie à Cognac !

 

          Céline DENJEAN

 

 

 

          Bonjour Dany, bonjour Bernard,

          C’est moi qui vous remercie pour votre invitation.

          Il s’agissait pour moi d’une grande première, et quelle première ! Ce que j’ai envie de vous exprimer c’est toute ma reconnaissance pour votre investissement, et à tous les niveaux. Votre accueil, votre exigence, vos choix artistiques, la proximité que vous permettez avec le public, avec ceux qui nous font. J’ai eu la chance de pouvoir être présent sur la quasi-totalité du festival et ces 3 jours n’ont été qu’une succession de belles rencontres. L'énergie et l’enthousiasme indispensables à l’organisation d’un tel événement sont des biens précieux qu’il faut chérir et encourager. Alors merci à vous, merci aux bénévoles et merci au public pour son enthousiasme. Je suis très touché par l’accueil que j’ai reçu, je suis très fier que notre film ait été distingué parmi une belle sélection.

          Longue vie au polar, longue vie à Cognac !

          Je vous embrasse

 

          Guillaume FAURE

 

 

 

24/10/2021

 

 

          À la croisée des arts avec pour point central le polar, il y a Cognac.

          Merci, Bernard and Co, pour ces moments de culture, de rencontre et de camaraderie qui font la renommée de ce festival à travers la France.

          Ce sont les souvenirs précieux de ce 26ème festival que je vais rapporter en terre africaine : un prix, un flacon de liquide ambré, des visages et des rires.

          Merci.

 

          Estelle THARREAU

 

 

 

22/10/2021

 

 

          Tous les ans, les festivaliers du Polar se retrouvent avec une joie toute particulière. Le partage devant et sur l’écran est au rendez-vous. Mais, pour cette 26ème édition, en cette année 2021, il y avait quelque chose de plus dans l’air… Comme si la force de nos sentiments, à tous, festivaliers, public et bénévoles, était surmultipliée… L’alchimie de nos passions plus puissante que jamais. 365 jours à patienter, à présent. Il est trop long cet alambic qui accouche de notre liqueur festivalière… Mais n’est-ce pas, chère Dany, cher Bernard, le prix d’une distillation hors norme au millésime toujours plus savoureux ?

 

          Bertrand PUARD

 

 

 

          Chers Dany et Bernard

          Merci pour cet excellent moment. L’ambiance est toujours aussi chaleureuse et amicale, c’est rare de trouver un tel accueil.

          Cette 26ème édition est une belle réussite. En tant qu’auteur sélectionné pour le prix du roman noir 2021 des bibliothèques et médiathèques de Grand Cognac, nous avons pu échanger avec le public sur une longue séquence. Merci à Manon Elezaar qui a mené les débats. Et le public a été nombreux sur les stands.

          Une réussite. Bravo !

 

          Jacques BABLON

 

 

 

          Bonjour Bernard, Dany et toute l’équipe de ce 26ème Festival,

 

          Je tenais à vous dire combien j'étais heureux de ce trop court mais ho combien intense séjour. On a visionné, je crois, 17 films et séries, et quel plaisir aussi de retrouver les amis du jury et les autres artistes passionnés comme Manon, Laurent, Bruno, etc !

          On a été gâtés avec nos soirées « cigares et cognac » et ce dîner de gala au château !!!!

          Dany et Bernard, merci pour cette passion partagée, quel boulot, quel bonheur !!! Je vous bise.

 

          Patrick ROCCA

 

 

 


 

Elles, Ils, ont tout bu, tout entendu, tout vécu, tout vu... Elles, Ils, même pas peur dans le respect des consignes sanitaires, témoignent sur cette 25e édition de « POLAR » Le Festival de Cognac qui a fait acte de Résistance alors que tant d'autres manifestations culturelles s'étaient tues, ou allaient se taire, la faute à la Covid-19...

 

 

13/11/2020

         

 

          Même avec des masques qui nous dévorent le visage, même avec des mains qui puent le gel hydroalcoolique, même avec des embrassades qui n'en sont pas entièrement, cette édition 2020 était une fois encore un régal. Du talent de Dany et Bernard et de toute l'équipe, à transformer l'air vicié en une merveilleuse bouffée d'oxygène.

          Présent cette année à la fois pour un roman (Mon cœur restera de glace) et pour un film (Ni dieux ni maîtres), le souvenir le plus marquant et le plus émouvant que je conserve est celui des rencontres avec les lecteurs, les discussions, longues, parfois très longues et personnelles autour de la littérature, qui dit et qui nous dit tant. Et puis aussi après la projection de « Ni dieux ni maîtres » où j'ai pu rencontrer des spectateurs qui avaient vu mon premier film, « Cruel ». Nous avons parlé, et en les écoutant, je ressentais combien ce moment était précieux, et combien c'était un encouragement, à continuer d'écrire et de filmer. Je suis rentré de Cognac avec un coup de fouet à l'âme et de l'énergie à foison !

          Merci pour cela.

 

 

          Éric CHERRIERE

 

 

08/10/2020

 

 

          Vive Cognac !

          Cher BB en cette fin du monde, alors que TOUT ce qui est un peu beaucoup culturo-artistico-littéraire s’effondre, on se dit : putain qu’est ce que c’était bien Cognac !!!

 

 

          Gérard STREIFF

 

 

31/10/2020

 

 

          Ce Cognac 2020 n'avait rien à envier aux grands crus précédents. Camaraderie, franches rigolades et partages étaient au rendez-vous une nouvelle fois, dans ce contexte particulier qui pouvait permettre d'en douter. C'est bien la preuve qu'il en faudra plus que ça pour décourager les irréductibles du polar sous toutes ses formes. Fier et heureux d'avoir pu contribuer à cet album célébrant la 25ème...

          Vivement la prochaine et d'ici là, santé !

 

         

         David CHARRIER

 

26/10/2020

         

 

 

          Merci de m'avoir proposé de faire partie du Jury du premier Prix Jean-Pierre Mocky...

          Merci de nous avoir si formidablement accueillis malgré les difficultés d'organisation que vous avez dû subir...

          Merci pour ce moment d'émotion forte passé à entendre Richard Bohringer...

          Merci pour tous ces films, ces bouquins, ces affiches, bref cette ambiance « polardesque » qu'on ne retrouve nulle part ailleurs...

          Merci Bernard & Dany pour votre passion...

          Vivement 2021 !

 

          Michel VIVIER

 

          « Deuxième édition de Cognac pour moi en tant qu'auteur. Accueil royal, par toute l'équipe. Échange entre auteurs animé par la superbe et adorable Manon Elezaar, passionnant. Le festival du noir et du polar. Merci, merci à Bernard et Dany pour la passion, le cognac, l'ambiance. Merci pour les émotions, l'émotion avec Bohringer au tel. Vivement le prochain pour moi. Un week-end de célébrité. Un week-end à ne zapper sous aucun prétexte. Malgré les conditions et le reste et comme dit Bernard la Culture doit résister. Résistons !!! »

 

 

          Noël BOUDOU

 

22/10/2020

 

 

          « C'était beau. Je n'oublierai jamais ce corps pétrifié dérivant à la surface du fleuve Charente, ces traces de sang au goût salé sur l'aile avant droite du Q5 non plus, encore moins cette femme au chapeau devant son expresso aux grains d’Éthiopie. Merci Bernard, merci Dany. »

 

         

          Jean-Charles CHAPUZET

 

 

 

          2020 ! Année difficile, certes, mais j’ai été très heureux d’être présent pour les 25 ans. Merci à toutes et à tous pour cette organisation un peu particulière mais réussie. Mention spéciale à Bernard et Dany. D’autant plus que mon dernier livre « ANGKAR » a obtenu le Prix du Roman Noir 2020 des Bibliothèques et des Médiathèques de Grand Cognac. Je ne m’y attendais pas vu le niveau des autres ouvrages sélectionnés. J’ai été un peu trop ému quand je suis monté sur scène. Rien préparé évidemment.

 

          Très heureux que Sylvain Forges ait obtenu le Prix Cognac du meilleur roman polar francophone. Un prix largement mérité.

          De belles rencontres et de belles découvertes dont Noël Boudou, Jérémy Bouquin pour ne citer qu’eux…

          J’espère bien revenir en 2021 !

 

 

          Christian BLANCHARD

 

 

 

          Merci Cognac ! Merci Dany, merci Bernard ! Mille fois merci. Quel accueil !

          Une première pour moi, et toutes les promesses étaient au rdv.

          On m’avait beaucoup parlé de la passion qui anime ce festival, j’en reviens heureux et remplit d’ondes positives.

          Heureux d’avoir vécu et partagé ces précieux moments de cinéma et ces belles rencontres !

          Longue vie au festival Polar de Cognac!

 

 

          Akim ISKER

 

 

 

          Encore bravo mon Bernard, pour ton engagement, tes compétences (cette mémoire des noms, des œuvres, des dates ?!) et cet amour des gens de l’art !

          C’est Bec qu’il nous faudrait au ministère de la culture !

 

 

          Gérard STREIFF

 

 

 

          « Une 25eme édition encore plus belle ! Et ce n’est pas la Covid, la crise sanitaire généralisée, le défaitisme ambiant, l’air anxiogène, le couvre-feu, l’occupation sous toutes ses formes, les restrictions, les imprévus, les interdits, les tabous, les absents, qui auront empêché Dany, Bernard et tous les bénévoles de nous servir encore une fois, des rires, des émotions, des larmes, du pineau, du cognac, des rencontres, des débats, des prises de têtes, des prises de cœur, des prises de poids, des prises de vie…

          Je reste fidèle à ce couple d’indécrottables qui aime le cinoche, l’amitié, le partage. Et s’il faut se recoller l’année prochaine, à Cognac, chez moi, ou à Paris, chez moi aussi, à présenter les remises de Prix, et bien seul, accompagné, bien portant ou fiévreux, j’en serai, car quand j’en suis, je suis bien !!!. Vous aime tous les deux.»

 

 

          François BURELOUP

 

 

 

          « Un 25ème anniversaire dans une ambiance particulière, une bulle de culture dans un monde chamboulé qui n'en a jamais eu plus besoin.

          Une grande Librairie, une salle de projection pleine d'aficionados masqués. Et derrière les masques, que des sourires.

          Mark Twain écrivait « Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors ils l'ont fait ». Bernard, Dany, toute l'équipe du festival... nos Tom Sawyer à nous, courageux et anticonformistes en diable.

          Vive le Festival POLAR et à l'année prochaine, bien évidemment !»

 

 

          Bertrand PUARD

 

 

 


 

Ils, elles, ont tout bu, tout entendu, tout vécu, tout vu… ils, elles, témoignent sur cette 24e édition de « POLAR » Le Festival de Cognac…

 

 

 

28/11/2019

 

 

            Pour la deuxième année consécutive, je me suis retrouvé dans une œuvre sélectionnée au Festival POLAR de Cognac.

            L'année dernière pour le film « Jusqu'à que la mort nous unisse » de Delphine Lemoine, nous avions reçu le Grand Prix 2018 du Meilleur Film de Télévision.

            Cette année, « Crimes Parfaits » réalisé par Nicolas Herdt.

            Quel plaisir et quelle joie ce fut, d'être si chaleureusement accueilli par Bernard Bec et Dany.

            Ce festival représente notre affection et notre admiration au POLAR, sous toutes ses formes ; romans, bandes dessinées, films et séries.

            Le festival nous accueille comme si nous étions une fratrie.

            Je suis conquis ! Je reviendrai !

            Merci Bernard ! Merci Dany !

 

            Christophe FAVRE

 

 

14/11/2019

 

            Chère Dany, Cher Bernard,
            Un petit mot par ici pour vous communiquer le bonheur, l’immense joie d’être une fois encore dans la sélection de ce merveilleux festival du polar de Cognac !
             Je reviens avec grand plaisir dès l’année prochaine.
             Merci pour tout ce que vous faites, tous les deux et votre petite équipe, toute l’année, pour nous réunir et créer cette convivialité propice aux rencontres ! Et que de belles rencontres !! Merci encore !
            Je vous embrasse bien fort,

            Hélène DEGY

 

 

13/11/2019

            Mon ami Bertrand Puard me parlait depuis longtemps du festival de Cognac, avec des étoiles dans les yeux. Il évoquait une ambiance unique, un esprit polar à la fois rigoureux et ouvert… J’avais hâte de découvrir cet univers ; j’en ressors véritablement chamboulé.         
            Touché par un accueil plein de considération et de bienveillance. Séduit par une organisation chaleureuse et élégante. Conquis par des visiteurs venus parfois de loin avec une curiosité enthousiasmante. Enrichi de rencontres imprévues dans un milieu dont je ne soupçonnais pas la variété.

           
Ce festival est vraiment à part, et j’espère sincèrement y revenir un jour.
         
            Des bénévoles du bar qui m’ont offert les premiers sourires, à Bernard Bec qui distribue sur scène des prix et des émotions inestimables (et qui fait rimer comme personne Cocteau et Perfecto), merci à tous ceux qui donnent vie à cet événement incomparable.

            François CLAPEAU

 

 

10/11/2019

 

            Il est étrange de parler de films noirs, de polars, de flingues et de bourre pifs dans un festival aussi lumineux, joyeux, amical, sincère et humain que celui de Cognac. C'est pour ça qu'on y vient et qu'on y est si bien...

            En un mot : Merci !

 

            Frédéric BOURALY

 

           

            Mon passage éclair au festival de Cognac fut délicieux. L'accueil familial et l’atmosphère détendue m'ont ravi. J'aime les choses où le son se mêle à la lumière.

            Vive Cognac et vive le Polar !

 

            François VINCENTELLI

 

 

02/11/2019

 

          Ma première venue au festival du Polar de Cognac a été un moment magnifique, le maître mot de ce festival est le cœur. Merci Bernard Bec de m’avoir permis de participer à ce bel hommage à notre Jean-Pierre Mocky irremplaçable, ce fut pour moi un grand Bonheur de retrouver pleins de copains, de retrouver une grande partie de l’équipe de « L’Archer Noir » et de pouvoir retrouver Olivier Marchal !

          J’y reviendrais avec graaaand plaisiiir !!! (À bon entendeur…)

          Merci Bernard et Dany pour ces moments inoubliables et bravo !!!

 

          Hélène BIZOT

 

 

31/10/2019

 

          Ce Polar-Cognac-édition 2019 était à nouveau une pure merveille ! Rarement, des salons et festivals parviennent à tisser des liens affectifs aussi forts, entre auteurs, et surtout entre auteurs et organisateurs. Entre auteurs et public. Des liens humains, affectifs, dans le grand respect et la vraie amitié… Où l’on découvre que nos livres ont été lus, commentés, où l’on n’est pas invité juste sur un nom ou un peu par hasard, comme hélas trop souvent… Où l’on vient véritablement pour présenter notre travail, à des gens qui s’y connaissent ou non, qui sont intéressés et passionnés, oui, ça, toujours !  Peu de festivals sont ainsi marqués par l’esprit de bienveillance, d’ouverture, de gentillesse, de talent et de disponibilité de ses organisateurs, qui sont de vrais et excellents lecteurs, très fins connaisseurs du genre… Et quelle chance, pour des auteurs, de croiser également des gens de la télé ou du cinéma, de pouvoir échanger avec eux, de voir comment chacun conçoit l’écriture.

          Le problème des auteurs de polar, c’est qu’ils boivent peu, et nous nous excusons de repartir ainsi en laissant tant de bouteilles de ce merveilleux Cognac à peine ouvertes…

          Je tiens à remercier tout le monde, Bernard, Dany, tous les bénévoles, le public. Et tous nos amis auteurs, cinéastes, bédéistes…

          Avec mon amitié, et mon affection sincère,

 

          Cédric FABRE

 

 

          "Festival Polar de Cognac 2019, c’est déjà fini. On pourrait penser que, tous les ans, Bernard et Dany Bec utilisent la même recette pour nous régaler. Mais non… À chaque édition, ce sont des nouveaux ingrédients, des nouvelles découvertes en télé, cinéma, bouquins… Mais c’est surtout le tour de main qui évolue. Chaque année, encore et toujours plus de passion dans la préparation et dans l’exécution. Vive le Festival Polar, unique en son genre, encore plus découvreur de talents que jamais ! Et à l’année prochaine où les gourmets seront à la fête pour le 25ème anniversaire à n’en pas douter !"

 

          Bertrand PUARD

 

 

30/10/2019

 

 

          Pour la deuxième année consécutive, j’ai eu la chance de pouvoir participer au festival de Cognac, un festival réputé dans la France entière. Voir Bernard Bec déambuler parmi ses invités avec toujours autant de passion et de charisme est l’une des récompenses de ce festival. La seconde fut bien entendu d’obtenir le Prix COGNAC du polar francophone avec « Les Refuges ». Je suis reparti de Cognac avec une valise lestée de ce prestigieux prix et la tête remplie de souvenirs ancrés à vie. Merci ne suffit plus, il faudrait le répéter à Bernard tous les jours pour approcher mon ressenti, mais bien sûr il me regarderait de ses yeux lumineux et me dirait avec toute son humilité : « Ce n’est rien, ce n’est rien… » comme il le fit lorsqu’il m’a tendu le trophée. Ce « Ce n’est rien » résonne encore dans ma tête… Pour toutes les personnes présentes à Cognac, cet homme est sans aucun doute la véritable récompense de ce festival…

 

          Jérôme LOUBRY

 

 

27/10/2019

 

          Un petit goût de Noël avant l'heure lorsque tu reçois l'invitation officielle… Pour un festival que l'on ne présente plus… qui a créé sa propre légende. Cognac Polar : un festival unique en son genre. Et ce n'est pas un mythe. Je suis venu et j'ai vu ! Un immense merci à Bernard Bec, à toute son équipe et aux partenaires pour ce moment exceptionnel… Un festival rempli de passion, de chaleurs, de rencontres, de moments uniques de partage. Inoubliable, inimitable… Surtout, ne changez rien ! Et à très vite, j'espère.

          Amitiés polardeuses

 

          Cédric CHAM

 

 

24/10/ 2019

 

          Bonjour à toutes et tous.

          En dix ans, j’ai dû participer au festival de Cognac six ou sept fois et je compte bien revenir l’année prochaine. Un quart de siècle d’existence, ça ne se rate pas !

          Toujours aussi heureux de venir et de retrouver toute l’équipe du festival avec Bernard et Dany en tête. Très heureux aussi de retrouver des auteurs ainsi que de nouveaux venus avec lesquels on refait le monde de l’édition autour de bons repas et principalement dans les caves du château Otard. La qualité est toujours en rendez-vous.

          Une mention spéciale cette année à l’invité Olivier Marchal, un homme généreux et accessible.

          Tous les ans se pose la question du devenir de ce festival inégalé par ailleurs. On doit tous se mobiliser pour qu’il perdure. L’ensemble des auteurs sont unis pour qu’il existe encore de nombreuses années et cela passe évidemment par le soutien et la fidélité des acteurs financiers et logistiques. Qu’on se le dise : on sera tous là autour de l’équipe pour les aider !

 

          Christian BLANCHARD

 

 

          « Une première pour moi en tant qu'auteur et une première nomination aussi. Un des rares festivals à avoir réussi le pari de créer des ponts entre les Arts autour d'une thématique. Les auteurs, acteurs, réalisateurs de polars tous horizons se retrouvent le temps d'un week-end pour former une famille qui s'agrandit édition après édition et ce depuis 24 ans.

          Très heureux d'avoir été l'un des cadets cette année, et d'ores et déjà prêt pour la prochaine ! »

 

          David CHARRIER

 

 

23/10/ 2019

 

          Quel bonheur et quel honneur d'avoir participé au 24ème Festival de Cognac. C'est la tête tourneboulée, des étoiles plein les yeux et des bouffées d'émotions dans la gorge que je me suis encore levé ce matin.

          Bref, des moments inoubliables pour ce festival qui s'affirme, sans aucun doute possible, comme le rendez-vous incontournable de la fiction policière.

          Un très grand merci à l'ensemble des contributeurs pour la réussite de cet événement unique.

          Des bises fraternelles.

          Amitiés.

 

          Gilles CAILLOT

 

 

          Bonjour Bernard… bonjour Dany… bonjour à toutes et tous les Actants du festival du Polar de Cognac !

          Arrivé à Cognac il y a déjà quelques années pour y présenter un film… et ayant l’insigne honneur d’y revenir chaque année, depuis cette date, en tant que membre du jury…

          Je tiens à dire MERCI !

          Merci à vous toutes et tous qui le portez à bras le corps !!!

          Dès la sortie de la gare de Cognac s’impose à moi, la pensée suivante : « le train te dépose au Festival de la sincérité et au Festival de la dimension humaine… (c’est, peut-être, ce qu'y avait tant apprécié, ce drôle de paroissien… monsieur Jean-Pierre MOCKY…). »

          J’y ressens également (au niveau cinématographique, télévisuel, romanesque, théâtral, bandessinal…) une magnifique démarche, aux parfums imprégnés d’un monsieur Jean Dasté qui, comme chacun sait, tint à décentraliser le théâtre en France, y vouant sa vie…

          Oui ! Cognac et en province… et tant mieux… on y trouve moins de petits marquis (ceux de Molière… bien entendu !).

          Dès que j’ai mon badge en main… je sais que je suis en Famille !

          Le public vient si nombreux au Festival…, il peut (à tout niveau) échanger, communiquer, aimer ou non… s’exprimer… bref : VIVRE !!! (et ce, gratuitement).

          Je suis très attaché à cette aventure… je suis régénéré et, hélas triste, quand arrive sa clôture après ces trois jours si intenses…

          Que dire de plus…

          À part ce qui suit : merci au Festival, merci à mon frère et ami Bernard BEC, merci à ma Dany, merci à tous les bénévoles… D'EXISTER !!!

          C’est un de mes plus fort : JE VOUS AIME !… que je vous dédie

          Veillez sur vous !

          Votre dévoué 

 

          Philippe AMBROSINI

 

 

          Cognac 2019,

          Un Bernard Bec en pleine forme (en tout cas, il nous l’a fait croire pendant ces trois jours « même pas mal ! » et là, je dis bravo !), des bénévoles d’une gentillesse rare, un public fidèle, des invités prestigieux (merci à eux, et en particulier à Olivier Marchal qui par sa présence file un bon coup de main à ce festival), une longue et émouvante « standing ovation » pour Jean Pierre Mocky, des invités nouveaux, des invités pas du tout prestigieux mais tout aussi prestigieux à mes yeux. Bref, c’était parfait.

          Enfin presque : l’Archer Noir n’a pas eu le prix de la fiction unitaire et je suis bien triste pour toute l’équipe et Christian Guérinel, tandis que moi je suis vert, je n’ai pas eu le Grand prix du Polar Francophone, mais content pour le gagnant Jérôme Loubry Oui… bon… je n’ai pas le choix faut que je la joue classe et beau joueur… et, de toute façon j’aurai ma revanche : j’aurai le prix Polar du 36, le prix Polar SNCF, le Goncourt du Polar et bien sûr le Prix des Prix des Grand Prix de Saint-Prix !

          Merci à tous. Et vive Cognac 2020  !

 

          Christian RAUTH

 

 

          Comme toujours le festival de Cognac a vécu dans une ambiance fraternelle, de bonne humeur, de camaraderie, de contacts amicaux, hors de toute humeur de jalousie. Olivier Marchal a formidablement rempli son rôle de vedette sans ostentation ni préciosité. Bernard Bec a mené parfaitement son rôle de Directeur malgré ses problèmes de santé. Seul problème, et de poids, je crains que si Bernard arrête un jour, le festival disparaisse avec lui.

          Merci de m'avoir permis de participer à ce festival.

 

          Bernard L'HOSTIS alias Bernie LEE

 

 

          Chers tous,

          Comment résumer ces 3 jours passés au sein du jury 2019 de ce merveilleux Festival… Partage, émotions, découvertes, bonne-humeur, respect, attentions, échanges, rencontres, bienveillance, débats, rires… Voilà en quelques mots le patchwork de rencontres et d’émotions véhiculés par Bernard et sa merveilleuse équipe.

          Si heureuse et fière d’avoir pu participer et échanger avec mes joyeux et si        respectueux acolytes du jury 2019 !

Encore mille mercis à tous pour ce travail colossal…

          Des bises et à vite !

 

          Sophie LE TELLIER

 

 

22/10/2019

 

          Cher Bernard, et vous tous à l'association du festival,

          Je tenais à vous exprimer une nouvelle fois ma gratitude pour le formidable accueil qui a été fait au téléfilm "LARMES DE COMBAT" que j'ai présenté au festival cet année, et pour la bienveillance et le dévouement dont vous avez fait part pour nous tous, vos invités. Que ce soit l'hébergement, les repas, les conditions de projection, tout était réglé comme du papier à musique en dépit de la grève surprise des moyens de transport qui a dû sérieusement vous perturber. Toutes mes félicitations. Et en plus je suis reparti avec un prix, pour l'autre téléfilm que je représentais. Cette fête du cinéma et du talent était conviviale, joyeuse, amicale tout simplement. Pour avoir participé à de très nombreux festivals, plus grands et plus petits, je peux vous affirmer que c'est rare. Pour tout vous dire, j'ai moi-même créé il y a quelques années un festival de court-métrages à Paris donc je connais bien toutes les difficultés que vous pouvez rencontrer et que vous avez su nous taire brillamment, nous présentant toujours un visage souriant.

          Je voudrais revenir plus particulièrement sur la soirée prestigieuse que vous nous avez offerte au château de Cognac. Le cadre était somptueux, le dîner excellent, et le service parfait. C'était un rare privilège de pouvoir dîner en ces lieux centenaires chargés d'histoire, et je crois bien que tout le monde en a été marqué. Cette soirée n'était pas comme celles qui ont précédé, les gens s'y sont vraiment mélangés, chacun a laissé tomber ses réserves et le festival y a trouvé me semble-t-il un supplément d'âme.

          Merci encore, et tous mes vœux de continuation. Au plaisir de vous retrouver un jour.

          Cordialement,

 

          Philippe LYON


          Merci Dany, merci Bernard, pour ces grands moments de bonheur.
Et merci à tous les habitants de cette merveilleuse ville de Cognac pour leur accueil chaleureux.

           Joseph OUAKNINE

 

 


 

ILS, ELLES étaient présents, présentes au 23e « POLAR » le Festival de Cognac, ils, elles, témoignent :

 

 

 

13/11/2018

 

          Deux sélections à Cognac, deux années consécutives... Et cette année je suis repartie avec le GRAND PRIX 2018 du Film Francophone de Télévision... !

          Je suis évidemment extrêmement heureuse de cette distinction mais surtout, je garderai un souvenir puissant et extrêmement émouvant de la présentation de mon film en présence de mon producteur et de mon comédien principal dans une salle dont j’ai ressenti chaque vibration.

          Quel bonheur de pouvoir projeter un film destiné à une diffusion télé sur un grand écran dans une salle de cinéma pleine à 9h un samedi matin et de partager ce moment avec un public passionné de polars et d’échanger avec d’autres professionnels et collègues tous animés par la même flamme !

          Et tout ceci dans une ambiance tellement chaleureuse et conviviale, spontanée et sincère, ponctuée des délices de Cognac.

          Mais attention, danger ! Je risque de devenir accroc.... au festival bien sûr !

          MERCI Bernard et Dany ! Et surtout, restez vous-même !

 

          Delphine LEMOINE

 

 

 

08/11/2018

 

          Peu de festivals peuvent se targuer d'avoir leur propre mythologie. C'est le cas de celui de Bernard et Dany. Celle de POLAR à mon sens habite les rues, les salles et les châteaux de Cognac. Cette grande famille née dans le roman noir et la bande dessinée m'a offert certains de mes plus inspirants moments de spectateur. C'est un privilège que d'en devenir l'héritier avec « Amare Amaro » en tant que réalisateur. 

         

          Julien PAOLINI

 

 

 

27/10/2018

 

          Bonjour Bernard,

 

          Je vous remercie encore une fois d’avoir sélectionné notre film « Pervers ordinaire » à Cognac pour POLAR 2018.

 

          Cognac est une jolie ville à visiter et la météo a été très favorable, il faut le dire.

J’ai été agréablement surpris de la formule de votre festival : du Polar sous toutes ses formes (télé, BD, littérature et cinéma), c’est très original et inspirant.

 

          Si nous étions un peu inquiets que notre film soit programmé à 8h30, le dimanche matin, nous avons été très agréablement surpris de voir que le public était au rendez-vous et qu’autant de spectateurs se soient déplacés pour voir notre film. Un public chaleureux qui sait apprécier les polars et l’humour dont nous avons teinté notre film.

 

          Pour nous c’était une occasion en or de vérifier avant notre première montréalaise l’impact de notre film sur un public qui en ignorait tout. Et cela nous a confirmé que le film pourrait être présenté sur le marché francophone européen sans problème de compréhension des dialogues.

 

          Accueil chaleureux, bonne bouffe, bons vins, merci à Cognac et aux Cognaçais. Merci au festival.

          En espérant pouvoir un jour y présenter un autre film.

 

          Roger BOIRE

          « PERVERS ORDINAIRE »

 

 

 

          « POLAR » Le Festival de Cognac s’est imposé au fil des années comme un espace-temps incontournable pour tous les professionnels mais aussi les amateurs du livre, de la télé et du cinéma policiers. Cette réunion de personnes issues de cultures et de milieux différents autour d’une passion commune est pour tous la garantie d’un rendez-vous de qualité, riche et jouissif. Ayant eu le bonheur d’être sélectionné et invité à plusieurs reprises, j’ai pu chaque fois y faire de nouvelles et belles rencontres (je pense en particulier cette année à Francis Renaud avec lequel j’ai partagé quelques minutes de profonde et sincère émotion, et à Benoît Séverac, un bonhomme vraiment bien et donc rare !), mais également revoir des fidèles de ce festival (Salut à toi Tony…) et d’anciens lecteurs apparemment heureux eux aussi de me retrouver (ce qui est tout de même plus agréable que l’inverse). Quant à l’équipe du festival, Dany et Bernard en tête, on ne peut que la féliciter et la remercier.      

          Longue vie au festival !  

          Pascal VATINEL

 

24/10/2018

 

         "Un festival inoubliable, plein d'émotions et de surprises. De belles rencontres avec les invités, des échanges intéressants et du partage autour des différents chemins qui donnent vie au polar.

         Un accueil très chaleureux, des bénévoles investis et souriants, des repas gourmands sous les voûtes de pierres d'un lieu magique et de caractère... Et du Cognac, bien-sûr !

         Je repars des souvenirs heureux pleins le cœur avec l'étrange sensation que le temps a coulé trop vite...

         Longue vie au festival !"

 

         Céline DENJEAN

 

 

 

         Le Festival Cognac éclatant d’énergie rayonne au-delà de son fief d’année en année. Il magnétise et séduit par son programme, c’est un honneur d’y être présent en tant qu’auteur. Un moment suspendu qui occasionne de nouvelles rencontres entre passionnés et professionnels. Un succès que nous devons à Bernard Bec et l’équipe qui l’accompagne sans relâche, pour notre plus grand bonheur.

         Une 23e qui marque une fois encore les esprits.

         Vivement la 24e !

 

         Samuel DELAGE

 

 

 

         "Être invité au Festival POLAR de Cognac, c'est être condamné à en repartir, à un moment donné. Le dimanche soir qui en marque la fin est sombre, le lundi qui suit insupportable... Il est très difficile de redescendre d'un nuage sur lequel on vous a accueilli avec autant de chaleur, où vous avez fait autant de rencontres et croisé autant de gens intéressés par la littérature et les films noirs. Fait important : à Cognac, on mange et on boit divinement, ce qui en gâche rien.

         Au-delà, une des retombées que je viens de découvrir, c'est que lorsqu'un de vos romans est primé à Cognac (comme le mien, 115, publié à La Manufacture de Livres, 2017, à qui les lecteurs ont décerné le prix des Bibliothèques et des Médiathèques du Grand Cognac), le gain en visibilité est énorme. On s'en rend compte après coup, dès que l'on commence à communiquer autour de ce prix.

         Un grand bravo à Dany et Bernard Bec, ainsi qu'à tous les bénévoles pour une organisation au cordeau, le sourire riveté aux lèvres.

 

         Benoît SEVERAC

 

 

 

         Un public assidu, passionné de cinéma... Des échanges très forts avec des lectrices et des lecteurs en nombre... Un jury « cinéma et télévision » dont les membres ont participé à des débats très riches... Une conférence avec mon ami Claude Cancès, sur le thème "Flics ou voyous", qui aurait pu se prolonger toute la soirée, tant les questions étaient multiples. Tout cela dans l'ambiance chaleureuse habituelle, entretenue par les bénévoles qui accompagnent Bernard et Dany...

         À l'année prochaine !

 

         Bruno PAPET

 

 

         Un festival toujours si parfait  !
         Comme d'habitude, le meilleur Festival du Polar nous a reçus cette année à Cognac. Comme dans un rêve, restent des films plein la tête : Et au milieu coule le Cognac... Tant qu'il y aura du Cognac... Cognac, un ami qui vous veut du bien... Retour vers le Cognac 24... Le bonheur est dans le Cognac... Mon Cognac et moi... L'auberge du Cognac... Mon Cognac bien-aimé... Et pour quelques Cognac de plus... 100 dollars pour un Cognac... La bataille du Cognac... Un jour sans Cognac (un cauchemar)... Zut, je viens de me réveiller !
         Tant que perdurera ce festival, nul doute que le rêve existera encore.
         Merci Dany, merci Bernard et tous les autres.

         Joseph OUAKNINE

 

 

 

23/10/2018

 

          "Le Festival POLAR de Cognac est un festival résolument à part. C'est un lieu unique, emprunt d'une magie particulière. Oui, il y a la magie des rencontres avec le public de lecteurs et de cinéphiles mais aussi entre auteurs, réalisateurs et acteurs. Des discussions, des échanges, des amitiés se nouent entre deux livres, entre deux films, entre deux verres de cette divine eau-de-vie, au sein de la grande galerie du Château Royal de Cognac. Le Festival Polar de Cognac, c'est une ambiance chaleureuse assurée par Dany & Bernard mais aussi avec des bénévoles exceptionnels. Des moments inoubliables, des fous rires, des émotions fortes qui vous ravissent le cœur. Longue et heureuse vie au Festival !"

 

          Guillaume AUDRU

         

 

 

          L’édition 2018 du Festival, ce fut tout à la fois pour moi une interview dans la Charente Libre sur l’héritage machiste du polar, une conférence sur le polar et 1968, un entretien à France Bleu, un pote des Deux Sèvres qui avait fait le voyage de Cognac et que je n’avais plus vu depuis... trente ans, des rencontres en pagaille, sans parler du “quotidien”, des films superbes (dont Nada de Chabrol/Manchette), des gens attachants (auteurs, lecteurs, collaborateurs), des tables de prince et, cerise sur le gâteau, Bernard et sa dame en belle forme. Tout ça en 48 heures. Un concentré d’humanité qui requinque dans ce monde de m...

          Gérard STREIFF   

 

 

          COGNAC,

          Servi à bonne température avec son nez puissant, sa robe élégante et ses notes persistantes d'été indien, le 23e festival Polar de Cognac aura rencontré un large succès d'audience les 19, 20 et 21 octobre 2018.

          Films, livres, pièces et incontournables albums de BD étaient dégustés avec une évidente gourmandise par la foule des mordus du genre en présence des acteurs, auteurs, dessinateurs et réalisateurs conviés.

          Pascale Petit, Jean-Pierre Mocky et Jean-François Stévenin étaient de la dégustation. Servie par des jurés compétents, une tournée de récompenses sera venue agrémenter l'événement que Dany et Bernard Bec https://www.facebook.com/profile.php?id=100004392404808 et une armée de bénévoles conçoit et réalise avec audace et persévérance année après année.

          A l'heure des budgets contraints, il faut de larges rasades de l'une et de l'autre pour faire vivre la célèbre manifestation...

          Invité et heureux de l'avoir été, de retour au Pays basque, je dis 1 000 et une fois merci à mes hôtes. Aux lauréats, mes compliments et un amical salut à celles et ceux avec qui j'ai pu partager ces instants précieux. Milesker Bernard et Dany ! Il fut savoureux, le cocktail de gentillesse et de compétence.

          Jean WEBER

 

 

 

            "Le cognac, comme tout alcool, est le fruit d’une longue alchimie qui lui donne ses célèbres saveurs. Le Festival Polar connaît lui aussi une pareille alchimie. Bernard, Dany et tous les bénévoles, ses distillateurs tout au long de l’année, lui confère à son tour un goût unique en son genre dont personne ne se lasse jamais. Il y a ce quelque chose, cet ingrédient (je me risque : une inébranlable passion ? Un réel altruisme ?) qui fait que tous les invités s’y sentent chez eux et n’ont qu’une seule envie le jour du départ : revenir l’an prochain. Le Festival Polar, une drogue ? Douce, oui, et contrairement à la boisson homonyme, à consommer sans la moindre modération !"

 

          Bertrand PUARD

 

 

          Le festival de Cognac est un événement à taille humaine, permettant au public d'échanger entre toute simplicité avec les réalisateurs, les comédiens, les producteurs, les auteurs et les éditeurs. Des rediffusions d’œuvres cinématographiques plus anciennes, des conférences, des hommages, font aussi connaître l'univers si vaste du polar, aux nouvellesgénérations.
          Pour ma part ce fut un beau moment de partage avec les membres du jury. Le travail acharné des bénévoles passionnés est à saluer ! Une bien belle équipe. Une ville chaleureuse.

          Longue vie au festival !

          Vanessa VALENCE

 

 

 

          Cher Bernard, 

 

          Quel week-end !!!! 

 

          Toute l’équipe du Trait et moi-même, voulions vous remercier de votre accueil chaleureux et l’organisation sans faille du Festival. 

 

          Merci à toi, pour la première impulsion sélective, 

          Merci à Dany pour sa présence qui semble discrète mais essentielle, 

          Merci à Frédéric qui nous a si gentiment accueillis et raccompagnés à la Gare, 

          Merci à l’équipe souriante et dévouée de l’hôtel Héritage, où nous nous sommes senti si bien, que nous avons squatté la salle du petit-déjeuner, dimanche matin, bien au-delà du raisonnable ! 

          Merci à l’ensemble de l’équipe du Festival que nous avons croisée parfois plus furtivement mais dont avons mesuré l’implication et la gentillesse. 

 

          Nous sommes rentrés, avec ce prix magnifique et essentiel pour la carrière du film mais aussi, avec des souvenirs de rencontres formidables et de moments légers partagés. 

          Et cela aussi est essentiel ! 

 

          Bon courage à vous tous et bon repos dans quelques jours. 

 

          Vive le Festival Polar ! Vive Cognac !

 

          Amicalement et Polarement.

 

          Géraldine IOOS

 

 

 

 


 

05/10/2018

 

« CAÏD » de Ange BASTERGA et de Nicolas LOPEZ, GRAND PRIX 2017 du Film Long Métrage de Cinéma...

 

Avant une nouvelle projection, en présence des deux réalisateurs, le dimanche 21 octobre 2018 à 11h00 à « La Salamandre », le Centre de Congrès de Cognac, voici l’interview de toute l'équipe, réalisée par Louis PIQUET-PELLORCE et Quentin SELLIN, juste après l'annonce du Grand Prix, le dimanche 22 octobre 2017 :

20/04/2018

 

Louis PIQUET-PELLORCE et Quentin SELLIN les ont interviewés… Anne RICHARD, la comédienne, était membre du Jury « Cinéma et Télévision » et a « signé » à nouveau pour la 23e édition (19/21 octobre 2018), et Thierry GODARD, l'acteur, était présent pour deux films de télévision dont l'un, « Le temps des mensonges », réalisé par Serge MEYNARD et diffusé par France 2, a reçu le Grand Prix 2017 du Meilleur Film de TV.

 

 

 

10/02/2018

 

En compétition ou de passage en amis, Louis PIQUET-PELLORCE et Quentin SELLIN les ont interviewé et filmé. Comme leur série « Cassandre » est diffusée actuellement sur France 3, voici déjà Jessy UGOLIN et Dominique PINON.

D'autres suivront.

 

 

 

Présents au 22e « POLAR » le Festival de Cognac, ils témoignent...

 

07/11/2017

 

 

          Le festival de cognac ? Comment dire ?...

          Ce fut une expérience inoubliable. Un superbe accueil. Nous nous sommes sentis comme si nous étions chez nous dès le début. 

          Tout au long de ce week-end nous avons pu échanger et même crée des liens d’amitié. Une atmosphère particulière règne sur ce festival. Une atmosphère qui vous donne l’envie que cela dure plus longtemps. 

          Nous avons gagné le Grand Prix du Film de long métrage cinéma et c’est pour nous l’ouverture de la route pour « Caïd ». Ce festival magique nous aura permis d’être pris au sérieux.

          Un grand merci Bernard et à toute l’équipe du festival ainsi qu’au Baron Otard pour les beaux cadeaux que l’on nous a offert.

 

          La Team de CAÏD

 

 

 

          Le POLAR de Cognac est parmi les meilleurs festivals du genre, et les prix pour les cinéastes participants sont les plus élégants dans le réseau des festivals.

 

           Filippos VOKOTOPOULOS

 

 

06/11/2017

 

 

          Ce qui fait la particularité du festival de Cognac, (et j'ignore si cela prend sa source dans les vapeurs d'alcool), c'est un esprit d'indépendance, de liberté contre ce qui régit de plus en plus l'univers du polar, c'est à dire un formatage total du genre, non pas dans ses œuvres mais dans une sorte d'assujettissement à la nécessité de les définir avant tout comme produit de consommation et de contrôle des imaginaires. Je suis toujours enchanté de constater qu'ici, c'est la passion qui prévaut. Ce ne sont pas des mots en l'air. Ça se vérifie par le mélange des genres, l'absence de hiérarchie entre les disciplines et entre les disciples, les inconnus mis en lumière, les stars dans l'ombre, le tout sous l’œil amusé de Jean-Pierre Mocky qui symbolise à lui seul tout l'engagement dans la liberté de créer. Longue (eau-de)  vie au Festival de Cognac.

          En vous remerciant tous

          Éric MANEVAL


  

 

          Le moment de cette année pour moi : l'arrivée de l'équipe de « Caïd » pour le Grand Prix. Tout le monde pleurait, les acteurs, les réalisateurs, les présentateurs, le jury et même le président.

          Bises

 

          Rémy ROUBAKHA

 

 

  

04/11/2017

 

         

          Cognac 2017, une grande année ? Pour moi, indiscutablement, puisque j’ai eu l’immense bonheur de recevoir le trophée du meilleur roman francophone. Et ce après – j’imagine – un terrible travail du jury, puisque 18 candidats se disputaient le Prix pour cette 22ème édition…

          Mais au-delà, quel festival ! Sélection cinéma de très haute volée, public de fanatiques du roman policier et des thrillers au rendez-vous dès les premières minutes d’ouverture de la grande librairie. Et pas des flâneurs, pas des badauds zigzagants par hasard entre les auteurs et leurs livres, non. Des purs passionnés, des lecteurs, critiques et enfiévrés.

          Merci encore une fois à l’armada de bénévoles, présents à chaque instant, faisant glisser comme sur des rails la superbe mécanique du festival POLAR. Merci à Dany & Bernard Bec, merci à Séverine et Boris Levak, merci à Cognac de maintenir vivant ce rendez-vous d’automne, merci à sa majesté Otard de nous avoir si bien reçu, comme chaque fois, dans ses magnifiques galeries.

          Oui, viva Polar.

 

          Michel MOATTI

 

 

03/11/2017

 

 

          En 2002, mon livre « Les collines noires » était sélectionné au Prix Polar de Cognac. J'y ai passé un super moment, avec d'autres écrivains, d'autres artistes et une belle soirée à la maison Martell.

          15 ans plus tard, Le festival m'honore en sélectionnant mon film « Hexing » en avant-première mondiale. La présentation du film faite par Bernard m'a touché, authentique, comme son parcours, comme ses choix. C'est ça Cognac, du lourd mais sans paillettes, sans artifices, de l'authentique.

          Et quel plaisir de voir une salle pleine assister à la projection de son film !

          Merci à toute l'équipe.

          Sincèrement,

 

          Christophe LENOIR

 

 

 

           « Cette année, si le Festival Polar a franchi une étape supplémentaire en termes de fréquentation, il est aussi parvenu à hisser son niveau d’émotion en couronnant pour le Grand Prix du Long Métrage « Caïd » d’Ange Basterga et Nicolas Lopez, un film qui a profondément ému les festivaliers, du jury aux cognaçais en passant par les auteurs, éditeurs, acteurs et producteurs présents. Le Festival POLAR est là pour nous faire découvrir de nouveaux talents et de nouveaux horizons dans notre matière préférée. Cette année, le contrat est rempli, la réussite totale. Caïd fera date dans l’histoire du cinéma de genre. Caïd est un film du réel à même de toucher un très large public sans distinction d’âge, ni de caste. Il ne nous épargne ni ne nous cache rien. Il gênera sûrement certains, notamment ceux qui pensent que le cinéma n’est fait que pour distraire.

Le cinéma doit surtout servir à témoigner. Caïd en est la vive illustration. La très vive, en réalité. Et on se rappellera que c’est au Festival POLAR de Cognac qu’il fut découvert. Un immense merci à Bernard et Dany Bec ainsi qu’à toute l’équipe de bénévoles pour leur implication toujours sans faille.

          À l’année prochaine, évidemment ! »

 

          Bertrand PUARD

 

01/11/2017 

 

          Je dis toujours, Cognac, c’est le Festival de Cannes du Polar !

          Tout commence une dizaine de mois avant le festival, lorsque l’éditeur commence à s’inquiéter auprès de la responsable des Prix et Salons «  Tu as bien envoyé Brutale ? Et les autres livres de la collection ? » Puis l’attente débute, de longues semaines à croire, espérer, et enfin la première bonne nouvelle, l’auteur est invité (au cas où, celui-ci avait déjà posé ses congés pour la période, on ne se refait pas), c’est un signe, et enfin, à peine un mois avant le Festival, tombe la dépêche ; le livre est sélectionné pour le Prix Polar de Cognac, branle-bas de combat ! On envoie sur le site de la collection, sur la page FB. Les félicitations et les visages émus déboulent sur vous, et l’on ne parle que de la Nomination !   L’auteur attaque ses nuits blanches, scrute les concurrents, dépose des cierges dans toutes les églises de Nice, mais il n’y a pas que le Prix et le prestige du Festival.

          Dès ma montée dans le train pour Cognac, je rencontre un ami auteur invité, puis nous discutons avec le réalisateur et l’actrice de la série Candice Renoir, ils sont stressés, ils rêvent du Prix, eux aussi, je me retrouve ensuite dans la navette avec le producteur d’une autre série qui est nominée, cela se voit, il croise les doigts, pose des questions, c’est cela Cognac, des rencontres, des discussions, de l’excitation, cette année les éditeurs se sont déplacés, Fleuve Noir, Bragelonne, Syros, le monde de la télévision est venu en force, il y a des têtes connues, Nadia Lintz, Dimeglio de Boulevard du Palais, Gilou, d’Engrenages, Jean-Pierre Mocky, des producteurs, des directeurs de France Télévision, des collègues auteurs, connus et moins connus, c’est la force de ce Festival, mélanger les débutants et les confirmés, les vedettes et les francs-tireurs, tous artistes, tous passionnés, comme les organisateurs, bénévoles, et partenaires du festival qui s’investissent tous sans compter, mais au-delà de tout cela, de cette belle ville, cette région magnifique, de ces repas fabuleux et d’une autre époque, il y a les lecteurs, les spectateurs, les milliers de visiteurs qui se déplacent de toute la région, de toute la France pour voir les films, acheter des livres et rencontrer des vedettes, des acteurs, des écrivains, parler de personnages, d’intrigues, des livres qu’ils ont déjà lus.

          Je pourrais en parler des heures, alors, encore une fois, merci d’avoir permis à mon livre d’être sélectionné, pour mon travail, pour l’éditeur qui y a cru, et cela vaut encore plus d’or, merci pour toutes ces belles rencontres qui permettent de grandir, d’apprendre, s’émerveiller, rêver, pour ces films que j’ai eu la chance de voir. Un simple et grand merci à celui qui se bat, chaque année, avec son caractère et son équipe, sa femme et ses amis du cinéma et de la télévision, de l’édition, merci à Bernard Bec, aux bibliothécaires, au service de la culture de Cognac, du département et de la région, merci pour ce que vous faites pour le Polar.

          Jacques-Olivier BOSCO

 

30/10/2017

 

 

          Chers amis du polar et du Cognac, des littératures, de la bédé et du cinéma,

          Je vous dois quelques jours de grand bonheur imbibé de vapeurs délectables et presque délictueuses -vu l’abus que nous en avons fait- de ce bon breuvage dont vous nous avez gratifiés tout le week-end. Je me rends compte que cet univers des polardeux est toujours aussi sympa, bienveillant et d’une grande sincérité et simplicité ; ces festivals nous rappellent aussi à nos lecteurs, je suis toujours enchanté d’avoir des retours, des libraires, lecteurs et bibliothécaires ; ce sont ces retours qui nous encouragent, nous donnent l’envie et la force de continuer à inventer des histoires, à donner vie à des personnages que nous “croisons” avec le réel, car la fiction s’y immiscera toujours de façon plus ou moins consciente, plus ou moins évidente. Un festival, c’est aussi la qualité d’un accueil, et pour cela, je remercie tout le monde... Il me reste des images et des sons dans la tête, des conversations avec des acteurs aussi, des scénaristes, au-delà des écrivains, où nous avons pu constater ensemble que nous travaillons tous avec des obsessions similaires : rendre hommage à la vérité et à l’authenticité de la “fiction”, qui ne cessera jamais de nourrir le “réel”, par-delà les genres littéraires, par-delà les modes narratifs, qu’ils relèvent du roman, de la bande-dessinée, du film... ou du Cognac ! Oui, le Cognac est un réservoir à histoires ! Et je conclus par un immense coup de coeur pour les jeunes Marseillais qui ont travaillé au film “Caïd”, et je les salue pour leur enthousiasme, leur fraîcheur, et leurs larmes d’émotion quand ils ont reçu le prix du meilleur long-métrage. Au fait qu’ont-ils alors dit vraiment, au micro ? “Vous avez vu ça ? Soi-disant on est des minots des quartiers, des durs, et là, on est tous en train de pleurer...” Quelque chose dans ce genre, c’est l’image que je retiens. Le sens de l’auto-dérision nous sauvera tous ! Bonne chance à vous, collègues ! Et un salut amical à tous ceux qui ont œuvré à la très belle ambiance de ce festival 2017, avec une spéciale dédicace pour Bernard...

          Amicalement et chaleureusement,

          Cédric FABRE

 

 

 

          Au choix !

          A consommer avec modération, plutôt en suivant le petit noir après déjeuner, en prenant son temps ! Et surtout, avec de vrais gourmets !

          De belles rencontres dans ce jury... De belles émotions avec les participants, de beaux échanges avec le public... Du bonheur plein la tête ! 

          Merci à toutes et tous !

          Bruno PAPET 

 

 

 

          Festival MAGNIFIQUE  ! ! !  Je suis très heureuse d'avoir participé et d'avoir donné ainsi au film « Pedro Noula » des sous-titres en français !
          L'accueil était chaleureux, comme une grande famille !
          Merci Bernard, et j'espère à très bientôt !

          Katia LECLERC-O'WALLIS

 

 

 

          La 22ème édition du mythique Festival POLAR de Cognac fut pour moi la première et je peux vous affirmer que pour bien des raisons, je ne l’oublierai jamais :

          Quand on arrive à Cognac, il y a d’abord l’accueil, les sourires, l’envie de nous connaître, l’envie de nous faire plaisir et puis bien sûr… la programmation, une véritable programmation de passionnés de films noirs et de polars. Fidèle à sa réputation, Cognac fait des choix, Cognac ose, et nous on en redemande forcément.  

          Ajoutons également à cela les rencontres (et elles furent nombreuses), les discussions et les débats passionnés avec des gens qui ne le sont pas moins.

          Enfin, comment ne pas le mentionner ici… le festival de Cognac fut la première pour mon court métrage « Corps Défendants », et quelle première ! Un grand Prix Court Métrage 2017 auquel je n’osai même rêver tant j’étais déjà fier de participer à la fête. Un Prix qui donne envie, envie d’aller plus loin.

          Alors à Cognac, au jury, à l’organisation, aux bénévoles et à Bernard Bec,

          Merci pour votre encouragement à mener un rêve d’enfant, merci pour votre confiance en l’avenir, merci pour cette émotion unique ressentie lors de la cérémonie et dont vous m’avez faite cadeau.

          Geoffrey FIGHIERA

 


 

Présents à Cognac, lors du 21e « POLAR » Le Festival, ils témoignent...

12/12/2016

            Il est des jours où la vie accorde des moments de partage, des moments de communication, des moments d'amitié… donc, des moments de plaisir et de respect !

            Voilà que ces moments, et que cette ambiance, se mettent à me manquer quand le train quitte la gare de COGNAC...

            Bernard, Dany, Nathalie et toute l'équipe... que ces rails, traverses après traverses, font s'éloigner de moi.

            Cette année 2016 et le FESTIVAL DE COGNAC m'auront honoré du titre de membre du jury... que dire d'autre que MERCI, MERCI... A VOUS... D'EXISTER !

            Un grand bonjour, au passage, à tous les membres du jury... palme d'or de la gentillesse au président : Claude Cancès ! (ah si tous les "patrons" étaient dotés de sa gentillesse et de son humilité...)

            Je vous embrasse toutes et tous si fort... que j'ai une peur : CELLE DE VOUS MARQUER LES JOUES...

            Que la vie se passe comme vous le souhaitez,

            Votre dévoué, Philippe AMBROSINI

 

02/11/2016

           Cognac 2016. Eh bien la voilà l'angoisse de la page blanche. Celle qui nous fait trembler à la seule idée de ressasser, de redire encore et encore les mêmes choses en utilisant les mêmes mots : parce que Cognac 2016 fut pour moi, comme Cognac 2015, Cognac 2014 et Cognac 2013, le charme absolu de la complicité, celui des rencontres insolites, joyeuses et spontanées, avec les amis qui s'en reviennent et qu'on retrouve, intacts (ou presque) malgré les années qui filent et les verres d'Otard qui défilent…
           Merci à toi, Bernard, merci Dany, pour cette nouvelle invitation. Merci à tous, bénévoles, bibliothécaires, lectrices et lecteurs.
           Nous vous devons beaucoup.

           Michel MOATTI

 

30/10/2016

           La 21e édition du Festival Polar de Cognac est déjà terminée. Pour ma part, le retour sur Nantes a été étrange, presque un deuil des beaux moments passés au contact de tous ces auteurs, dessinateurs, acteurs, producteurs et scénaristes. 
           Lors de cette dernière édition, j’ai même retrouvé un ami d’enfance perdu de vue depuis plusieurs décennies : c’est ça la magie du festival Polar !
           Une mention particulière pour les organisateurs, Bernard et Dany au premier chef. Un immense merci aux bénévoles qui se lèvent tôt et donnent de leur temps. Sans eux, il n’y aurait pas de fête.
           Le Festival Polar de Cognac est un événement où on ne paye pas pour acheter des livres ni pour voir des films. Un festival de haut niveau, connu dans le monde entier, où l’entrée est gratuite.
           Vivement la 22e édition !

           Sylvain FORGE, auteur.

 

24/10/2016

           Le Festival de Cognac est devenu un rendez-vous immanquable. Chaque édition est un bouquet d’émotions, de sincères retrouvailles et découvertes. La magie de Cognac débute bien en amont du Festival, avec un teasing séduisant pour les membres du Fan Club, elle se poursuit avec les souvenirs et parfois des projets. Cognac est une institution pour les passionnés de polar et de fiction littéraire et audiovisuelle. Une marque de fabrique à travers laquelle professionnels et amateurs se retrouvent, un concept unique qui associe projections en avant-première et rencontres avec un florilège d’auteurs, scénaristes, producteurs, réalisateurs et comédiens. « What else ? »
           
           S’il n’existait pas, il faudrait l’inventer, s’il disparaissait, il laisserait un vide immense. 

           Merci à tous les artisans de cet événement, qui donnent des heures sans compter et beaucoup d’énergie. La passion qui les anime vibre autour d’eux, et elle est magnétique. 

           Amitiés,

           Samuel DELAGE.

 

           Cher Bernard, cher tous,
           
           Quel beau festival.
           Avec des sourires, d'abord, les vôtres.
           Et de la passion ! La votre, celle du public à la fois bienveillant et à l’œil acéré. Et la notre, qui trouve écho dans vos regards.
           Avec des romans et des films, non pas face à face, mais ensemble.
           Avec des rencontres émouvantes, au hasard des déambulations dans la Salamandre.
           Avec un grand flic côtoyant un grand anarchiste. Se sont ils parlés, Cancès et Mocky, je ne le sais, mais il était réjouissant de les voir assis côte à côte. Bravo pour le "plan de tables" !
           Et puis, en ce qui me concerne, avec un « Grand Prix » Cinéma, dont je puis vous assurer combien il compte à mes yeux et comptera toute ma vie !
           Il est un sésame, un encouragement qui enjoint à ne jamais abandonner son "rêve éveillé".
           Longue, longue, et douce, et joyeuse vie au festival, car le noir, c'est aussi parfois, et étrangement, la célébration de la lumière.
           Ce que vous faîtes, et de bien belle manière, chers spectateurs et organisateurs de ce festival.
           Alors, oui, bien Polarement à vous,
           
           Eric CHERRIERE

 

           À Bernard et à toute son équipe,

           Merci infiniment pour votre superbe travail au Festival Polar de Cognac ! J'y ai vécu une expérience tout simplement formidable. À commencer par l'accueil des invités, qui était d'un niveau extraordinaire, mais aussi pour les nombreuses rencontres que j'y ai faites, et qui ont été rendues possibles par la chaleur et la proximité du festival. De pouvoir ainsi échanger avec les artistes de différents horizons, tout comme avec le public, est exactement le genre de truc qu'on aimerait vivre plus souvent en festival.

           Longue vie au Polar de Cognac, donc, et au plaisir d'y revenir !

           Maxime DESRUISSEAUX

 

21/10/2016 

           C'est toujours un honneur pour moi d'avoir un film sélectionné dans ton festival. Merci à toi et à toute ton équipe ! C'est grace à des gens comme vous que nous « pauvres saltimbanques » pouvons espérer la reconnaissance de nos pères. Moi, qui suis venu dans le polar par le biais de l'âge d'or du cinéma français des Gabin, Ventura, Giovanni et Olivier Marchal, entre autres, je ne pouvais rêver mieux pour mon premier Prix sur un Festival majeur. Je vois cela comme un signe du destin. Merci à tous, vive le polar et vive le Festival de Cognac !
           
            Ange BASTERGA

 

            Le Festival Polar dure trois jours pour les festivaliers, trois cent soixante deux jours de plus pour Bernard et Dany Bec. Merci à eux pour leur passion et leur gentillesse. Merci de parvenir chaque année à faire encore mieux, à fédérer encore plus de festivaliers autour de cet évènement unique en France. Un grand merci également à tous les bénévoles. Et si quelqu’un parmi vous, chers lecteurs, connaissez un moyen d’accélérer le temps alors je suis preneur. Le 20 octobre 2017, c’est loin… Trop loin…

            Bertrand PUARD

 

            L'année dernière, nous étions invité pour la 1ere fois au festival du polar de Cognac, nous y avons été accueilli comme des membres d'une famille par Bernard, Dany et son équipe. Des rencontres fabuleuses, des moments magiques, toute une histoire autour de notre pierre fétiche perdue et retrouvée...Cette année encore, comme si l'on s'était quitté la veille, retour dans la famille, celle du polar, et retrouver certains amis que l'on a pas vu depuis un an, parce que le temps passe trop vite, être traité comme des rois, bref, une évasion dans un autre monde le temps d'un week-end, encore merci Bernard pour cette passion que tu diffuses, et longue vie au festival !
            A l'année prochaine !

            Olivier JOLIVET

 

           Je ne vais pas parler littérature, films, TV ou théâtre qui sont pourtant l'essence même du festival, non ! Car la première chose que ma femme m'a demandé en rentrant, ce n'est pas : "As-tu fait bon voyage ?" ou "Ton salon s'est bien déroulé ?" ou "As-tu été bien reçu ?"… "As-tu passé du bon temps ?" Non… Pourtant bien endormie, elle s'est redressée dans son lit, l'œil excité comme jamais : Alors ! Tu as rapporté une bonne bouteille de Cognac ?… Et je sais que c'est aussi la question que vont me poser mes frères et sœurs, mes amis ou mes voisins… Eh Bien oui, le Festival, c'est aussi ça ! Ah Dany, Bernard… Votre festival jouit d'une réputation festivalière importante, mais oh combien cognacale ! Vive ce merveilleux festival ! Vive ce merveilleux Cognac !

            Joseph OUAKNINE

 

20/10/2016

            Ah vous vous sentez un peu orphelins ??? Eh bien nous aussi, figure-toi, et de plus en plus, car plus le temps passe et plus j'ai l'impression que nous appartenons à une famille. D'autant que, n'écrivant plus, je ne suis plus tenaillé par l'angoisse d'être en compétition pour un prix.
            On sait que chaque festival est le travail de toute une année... On sait qu'on essaye un peu plus chaque année de t'étrangler en réduisant les subventions... et même en le sachant je te rassure, ça ne se sent absolument pas. J'ai parlé à des tas de gens de tous les milieux concernés et tous étaient heureux d'être partie prenante dans un festival si chaleureux !
            Voilà... J'espère qu'avec un tel cirage de pompes j'ai gagné mon billet pour l'année prochaine si tu me trouves un biographe, une traductrice, un auteur, un fils d'auteur ou une veuve d'écrivain à interviewer. Evitons les veuves si on peut... elles veulent leurs morts plus grands que lorsqu'ils étaient vivants ! 
            Mocky l'an passé, Becker cette année... tu m'as constitué tout un stock de bons souvenirs. J'aime quand on me force à aller mettre mon nez dans des domaines qui ne relèvent pas de ma compétence... ça provoque des angoisses trois mois avant, une montée d'adrénaline pendant, et une béatitude satisfaite pendant 3 mois après. Cela raccourcit ce long temps mort d'une année avant nos revoyures.

            Gérard LAPAGESSE

 

            « Il n'y a pas de chemin vers le bonheur, le bonheur est le chemin ». Cette année encore, peut-être plus que jamais, le bonheur était présent au Festival POLAR de Cognac.
            Bises à toi et Dany.

            Claude CANCES

 

            C'était vraiment bien, excellent cru 2016.
            Cruel pour les voisins du dessous, pour le premier jour d'un flic, tout simplement, c'était borderline.
            Dans la forêt de Brocéliande, l'inconnu, harry, drôle de détective avait-il abusé du durban poison ?
            Becker a bien fait de s'arrêter à Cognac pour ses 2 jours à tuer.
            L'équipe nous a, à nouveau, comblée. L'accueil, les conseils, l'impression de faire parti de la famille, évidement nous sommes fans...
            Merci pour ces bons moments !... Vivement 2017 !

            Les TOULOUSAINS

 


Ils étaient présents lors de la 20e édition de « POLAR » le Festival de Cognac... et ils témoignent.

 

18/12/2015

            Venir à Cognac pour le festival "POLAR" est à chaque fois une expérience très marquante ; c'est la possibilité de s'immerger dans l'actualité du cinéma, de la télévision, de la BD et de la littérature policière avec les professionnels en vue dans tous ces domaines. Une sélection au cordeau des meilleurs films, téléfilms et des rencontres avec des auteurs de tout milieu, des plus célébrés médiatiquement comme des petits nouveaux prometteurs.
            Cognac "POLAR" est un événement incontournable pour tous les amateurs du genre, et ils sont nombreux, certains faisant un long voyage pour vivre l’événement.
            Vive la XXIème édition !"

            Sylvain FORGE

 

12/11/2015

            "Puissance 20, cette année, au Festival Polar de Cognac. 20 ans, 20 fois plus de plaisir que les années précédentes avec une sélection de films et d’auteurs de très grande classe.
            Encore une fois, merci Bernard, merci Dany pour ce grand moment qui, dans mon année d’auteur, est celui qui me procure à la fois le plus de joie et de satisfaction !

            Amitiés,

            Bertrand PUARD

 

27/10/2015

            Merci Bernard !

            Je suis vraiment gâté au Festival Polar de Cognac !
            Non seulement Doug Headline et moi-même avons eu le Prix "One shot BD" pour la deuxième fois, mais, cerise sur le gâteau, j'ai pu enfin rencontrer le "Mythe Mocky", et bavarder quelque instants avec lui !
            Inoubliable.
            Programmation et invités "hors-pair"...
            À la prochaine Bernard,

            Amitiés.

            Max CABANES

 

            Comme d'habitude, mille mercis et mille bravos ne suffisent pas, alors cette cette année on peut multiplier par 20, ce qui nous donne un très bon cru !

            Joseph OUAKNINE

 

24/10/2015

            De bons films, des conférences pointues (sur Hadley Chase ou sur Dard/San Antonio), une bonne table, de bels gens, franchement, que demande le peuple du polar ? Cognac, tout simplement ! Vive le 20è numéro !
            Et bises aux Bec !

            Gérard STREIFF

 

            Vingt ans ! Dans la vie d’un homme, c’est juste le début… Un festival, c’est la rencontre de femmes et d’hommes… « POLAR » le festival de Cognac n’est donc qu’à ses débuts.
            Pour arpenter de nombreux salons littéraires de Bretagne et de France, je peux dire que ce festival est connu de tous les amoureux du polar. Le prix « POLAR » francophone est un Prix prestigieux pour celui qui le reçoit. Préservons-le et choyons-le.
            Je reviendrai l’année prochaine avec plaisir…

            Christian BLANCHARD, auteur de romans noirs.

 

            "Encore merci pour cette édition"… Tu parles ! C'est nous qui vous remercions !

            On a bien senti à de multiples détails que nous étions dans un festival de crise, mais cela ne semble pas avoir affecté le moral des participants. Tout le monde semblait heureux de se retrouver. Cognac est une famille.
            Ayant quasiment suivi heure par heure les conditions difficiles dans lesquelles s'est organisée la 20ème édition, on n'a pu que s'étonner et s'émerveiller qu'elle se soit tenue dans des conditions plus qu'acceptables.
            Seuls les vieux meubles dans mon genre totalisant une douzaine de participations ont dû remarquer une différence.
            Certes les rangs des auteurs étaient un peu clairsemés, mais il m'a semblé que le public suivait bien. Mes trois interventions ont fait salle comble, et ça n'était jamais arrivé. L'accueil a été aussi amical et chaleureux que de coutume…
            Pour le reste… comme Bernard (et comme la salle entière), au moment des remises de prix, on a trouvé triste et honteuse l'absence de plusieurs maisons de production qui n'ont pas daigné se faire représenter.

            Dany, Bernard, toute l'équipe… encore bravo et merci !

            Gérard LAPAGESSE

 

            POLAR à Cognac 2015 : quelle vingtième !
            Dans des conditions difficiles de préparation, des soucis, des doutes, et à l’arrivée une splendide édition, avec toujours autant de passionnés, des deux côtés. Publics, lecteurs et invités, toujours aussi fiévreux d’être à Cognac et de s’y retrouver.
            Dire bravo à Dany et Bernard encore une fois, dire merci aux bénévoles qui ne comptent pas leur temps et ne cachent pas leur passion pour l’univers de la fiction, du thriller, du polar et du cinéma ? Oui, le dire encore même s’ils savent déjà à quel point nous sommes fiers et heureux d’avoir été une nouvelle fois leurs invités.

            Michel MOATTI

 

            Toujours un grand plaisir de venir dans votre super festival. De belles rencontres tant professionnellement qu'au niveau du public. Lâchez rien, restez comme vous êtes basgi a tutti.

            Ange BASTERGA

 

19/10/2015

            Ce petit message pour un simple mot : MERCI !
            Merci pour l’accueil
            Merci pour la passion
            Merci pour les échanges rendus possibles

            J’espère de tout cœur que le festival pourra poursuivre sa route car il est rare de pouvoir prendre part à des événements qui décloisonnent les genres, entre écrit, image, télévision et cinéma, court et long… 

            Bon courage à tous pour la suite et j’espère au plaisir !!!

            Toute mon amitié

            Stéphane BONDOUX

 

 


Ils sont venus, pour cette 19e édition de « POLAR » Le Festival de Cognac, de partout de notre hexagone et même de Rome, de Suisse, du sud de l'Espagne, du sud de la Belgique et du sud de l'Allemagne... et ils témoignent. 

18/11/2014 

           
            Hello, Bernard et Dany,

            Désolé pour ce retard à l'allumage, mais j'essaie de bosser dur entre chaque week-end de dédicaces qui s'enchaînent sans répit.
            Bon, je ne m'en plains pas, mais faut quand-même aligner les vignettes et les pages pour le prochain album et (donc) gagner sa vie d'auteur de BD.
            Tout ça ne m'empêche pas de revenir du festival avec la tête remplie d'images de bonheurs cinématographiques et de discussions passionnées... Pas loin de ressembler
à une sorte de réchauffement climatique.
            Encore un festival qui s'arrime déjà au prochain et c'est tout ce qu'on souhaite !

            À bientôt Bernard et Dany,
            Bons baisers de la Brède (le bled natal de Montesquieu, La classe !)

            Max Cabanes

 

30/10/2014

 

            Formidable ! C'était formidable !
            Que d'émotion dans cette édition !
            Ce festival du polar est unique par sa capacité à créer du lien social et national puisque les participants viennent des quatre coins de notre beau pays de France...
            Merci au grand organisateur Bernard Bec et à toute son équipe soudée de bénévoles qui conjuguent dans l'excellence efficacité et infinie patience...
            A l'année prochaine : je ne le raterai pour rien au monde !

            Georges Clot

 

            Chère Dany, cher Bernard,

            C’est la troisième fois que je joue du Simenon à Cognac devant un public enthousiaste et c’est à chaque fois grâce à vous deux.
            Ce fut à chaque fois un moment de bonheur pour nous car grâce à vous et aux nombreux bénévoles ce festival est chaleureux et convivial.
            On s’y sent bien et le public le ressent comme nous.
            En espérant que ce Festival Polar puisse encore longtemps nous réserver de belles surprises.
            Amitiés sincères à vous deux.
           
            Robert et Natalia BENOIT

 

28/10/2014

         Bernard,

         Quel week-end !
         A n'en pas douter un souvenir inoubliable fait de rencontres, de surprises, de découvertes, de divines libations et par dessus tout, de chaleur humaine.
         Rien de surprenant : tu me l'avais annoncé !
         Pour ce qui est de la breloque en bronze massif, elle commence à faire son effet dans le milieu du théâtre de rue et rempli parfaitement son rôle de "distinction" car, et c'est un point remarquable, Une Cerise Noire est à ma connaissance le premier spectacle de rue à participer à une compétition consacrée au théâtre ; non pas aux arts de la rue, non pas pas aux jongleurs de chiens enflammés ni aux cracheurs d’échasses, mais au théâtre !
         Au risque de me répéter, un énorme merci à toi, à ton équipe disponible et accueillante, à tes potes atypiques, bref, à ton festival tellement humain, forgé à ton image.

         Benoît AFNAÏM

 

 

27/10/2014

 

            Une fierté, oui, c'est la première émotion qui m'a traversé lorsque j'ai appris que mon roman « Loupo » était nominé pour le Festival de Cognac. Je connaissais bien sûr le Prix Polar, et, de ce Festival j'imaginais les limousines pour venir vous chercher à l'aéroport, les repas dans des châteaux où naissent les futurs rois, les plats tels que huîtres, foie gras et écrevisses aux asperges, accompagnés de Grands Vins, et bien sur terminés de Cognac XO, et, tant qu'à faire, un coffret avec une bouteille de Baron Otard VSOP posé sur ma table de nuit à mon arrivée à l'hôtel du "Cheval Blanc" (mon beau père l'a beaucoup apprécié). Je me voyais arpenter la cité, aux ruelles pavées de calcaire blanc, à l'église à la fois sombre et lumineuse, aux maisons à colombages, sous lesquelles, à tout instant, l'on s'attend à entendre crier "Laisser passer le futur Roy François!" dans le cliquetis des harnais et le bruit des sabots. Cognac c'est tout ça ? C'est mieux encore, croyez-moi, Cognac on peut y aller sans manteau, tant l'accueil, les sourires sont chaleureux, le public, les gens sont curieux et heureux de participer, car ici tout est gratuit, tout est pour eux, ceux de Cognac ou d'ailleurs (certains descendaient de Lille, d'autres de Tours, il y avait même des Anglais et des Alsaciens), les projections, les débats avec les vedettes, les pièces de théâtre, le salon des auteurs. Alors cela débute, comme dans un film, des rencontres fabuleuses, avec des réalisateurs, des metteurs en scène de théâtre de rue (primé d'un grand P), des (grands) dessinateurs de BD - attendus dès l'aube par des fans avec leur petit tabourets - , des auteurs jeunesse entourés de gamins criards, du polar adolescent qui a un succès, des collègues auteurs de Noir, des bénévoles passionnés, et des lecteurs/spectateurs érudits, tu m'étonnes ; ici l'on mangeait à la table de Giovanni, de Becker, de Lautner et de Marchal aujourd'hui, car Cognac c'est le polar dans toute sa largeur, dans tout son amour, des films, des livres, des séries, des acteurs et, Ô cerise confite, des actrices de cinéma et de télévision. Tout cela, oui, tout cela, grâce à la passion, l'enthousiasme et surtout le travail d'un seul homme au départ, celui dont on se rêve l'ami, tant il serre d'illustres épaules entre ses bras, tant sa barbe grise se frotte aux mentons mal-rasés des amis flics ou truands repentis, tant il est posé, et en même temps, d'une honnêteté redoutable en émotion, il suffit de voir les films qu'il dégote, comme cette saison, 7 casas, mais aussi les hommages qu'il rend, à Giovanni pour les dix années de son départ pour le Grand Sommet. D'ailleurs, José Giovanni, que de mon côté je respecte et vénère au plus haut point, n'a pas besoin de descendre voir ce qu'il se passe, car, plus qu'un temple du Roman Policier, plus que les Champs Élysées du Film Noir, Cognac, pour moi, c'est le Paradis du Polar.
            Bon, je n'ai pas eu le prix, mais je vais m'y remettre, et bosser d'arrache-pied, on ne sait jamais, et puis, je sais que Cognac perdurera, qui oserait abattre un tel pan de culture Nationale, et même, Internationale ? Qui pourrait creuser un tombeau dans les saisons des habitants de la région de Cognac, en leur ôtant cette manifestation qu'ils plébiscitent et adorent (il suffit de regarder leurs yeux briller au passage d'Anne Richard, ou à l'annonce de la venue de Bruno Wolkowitch). Autant faire sauter le Festival de Cannes, celui de Deauville et aussi... et aussi... Ben, tiens, finalement, il n'y en a pas tant que ça des Festivals de cinéma, de livres et de télévision, en France...

           JOB

 

            Bonjour à toute l'équipe,

            Une semaine après être redescendus sur terre, le Festival est encore dans nos esprits.
            Une fois de plus, nous avons été comblé par toute l'organisation, l'accueil et la programmation.
            Merci en particulier à Claudine si disponible dans la tourmente et à Maurice qui a su rester incorruptible.
            Après notre rencontre avec Peter May, nous envisageons d'aller arpenter le sentier de l'écrivain sur l’île de Lewis... à suivre.
            Merci de nous avoir programmer Ricardo Darin comme réveil-matin.
            Maintenant comment  savoir si le diamant a été volé par un chinois moustachu avec la complicité d'un fils rentré d’Afghanistan. Heureusement le capitaine Berthaut mène l'enquête sur les conseils éclairé de José et de sa famille.
            Nous serons là pour le 20ème.
            Encore Merci à tous.

            Les TOULOUSAINS

 

 

24/10/2014

            Chère Dany, cher Bernard,
            Un grand merci au festival pour l’accueil chaleureux qui nous fût réservé lors de ces trois jours, nous avons eu le sentiment d'être sincèrement les bienvenus.
            Bravo, pour la qualité de votre sélection, la liberté d'expression du jury et l'enthousiasme de tous les bénévoles.
            Ce fût un beau moment de partages et d'échanges, nous reviendrons quand vous le voudrez et qui sait : Jamais deux sans trois !!!
            Amitié.

            Denis MALLEVAL

 

            C’était en 2014 ma deuxième édition de « Polar » le festival de Cognac.
            Comme l’année précédente, j’ai apprécié la qualité de l’accueil, le cadre unique et la variété du programme. Cognac « Polar » surfe sur tous les aspects de l’imaginaire policier : cinéma, TV, littérature, BD, théâtre. Un concentré à part et unique d’auteurs, d'acteurs et de réalisateurs, un public d’amateurs attentif et fourni.
            Mon expérience 2014, c’est aussi les échanges avec les bénévoles, d’une gentillesse et d’une disponibilité totale.
            Merci à Bernard et Dany et que vive le « Polar » de Cognac encore de longues années.

            Sylvain FORGE

 

 

23/10/2014

            Mon Cognac 2014, c’est l’accueil en gare par une très élégante hôtesse au volant d’un char énorme, entre corbillard de luxe et voiture blindée de Poutine ; c’est deux jours d’un soleil de fournaise qui n’ont pas découragé le public ; c’est la projection de fictions épatantes comme celle du chinois Black Coal ; ce sont les retrouvailles avec des potes et potesses heureusement inchangés; c’est l’extrait, piqué au passage, de Galia de Lautner avec la belle Mireille Darc et le charmant Venantini ; ce sont des lecteurs venus parfois de très loin (je pense à la belle bretonne venue de Nantes en camping-car !), c’est une voisine de festival très rieuse, un autre expert en pinard, des échanges plus que parfaits avec le lauréat Théâtre, des débats sur la « police qui doit rester exemplaire » (Mme Monteil) ; c’est un retour sur Paris avec Joseph et trois heures de Brassens ; bref deux jours privilégiés avant de se replonger dans ce monde de brutes.

            Gérard STREIFF

 

Chère Dany, cher Bernard,

Où peut-on trouver un festival aussi ambitieux et chaleureux que le vôtre ? Nulle part ailleurs.
Gagné ! La cuvée 2014 fut de très haute volée : surprenante, vivifiante et surtout, émouvante avec cet hommage au « parrain » du Festival.
Nul doute que la suivante se hissera sur de plus hauts sommets encore !
Alors, reposez-vous (un peu) et œuvrez (beaucoup) pour le futur grand plaisir des spectateurs, des visiteurs mais aussi des auteurs, comédiens, réalisateurs, producteurs… Le souffle me manque !
Ciao, chère Dany, cher Bernard. Et à l’année prochaine. Sans faute !

            Bertrand PUARD

 

            Il s'agissait de ma première participation au festival POLAR. Et je dois dire que pour un premier roman publié chez un éditeur qui ne demande qu'à grandir, c'est un honneur et une immense opportunité.
            Ces trois jours passés dans la belle ville de Cognac furent un total plaisir qui ne demande qu'à être renouvelé. Tout ça grâce à qui ? Grâce à une équipe géniale de bénévoles attentionnés sans être obséquieux, menée de main de maître par Dany et Bernard Bec.
            Et puis c'est aussi l'occasion de rencontrer enfin ses collègues de plume autre que par le biais des réseaux sociaux. Et ça, ça n'a pas de prix.
            Alors je souhaite une vie éternelle à POLAR, le Festival, il le mérite amplement !

            Guillaume AUDRU

 

            Cognac a cette chance incroyable d'accueillir POLAR, un festival que tous les auteurs de romans noirs français cochent dans leur agenda et ne voudraient manquer pour rien au monde... Animé et piloté par des vrais passionnés, en dehors des paillettes et des faux semblants de la com', fait de rencontres et de moments uniques entre auteurs et public fidèle, POLAR reste un vrai moment d'exception et d'émotion. Bravo et merci du fond du cœur - une nouvelle fois - à Bernard & Dany Bec, à tous les bénévoles - merci Nathalie pour le voyage à la gare en corbillard-taxi -, merci à tous d'avoir tenu bon et de nous avoir donné POLAR 2014.

            Michel MOATTI

 

            Le Cognac, c'est comme l'amour, c'est encore meilleur quand ça perdure. Merci Dany, merci Bernard pour ces grands moments de bonheur.

           Joseph OUAKNINE

 

 


 

Rien ne va plus... Ils réagissent à chaud comme en 2012

 

15/11/2013

            Je fréquente Cognac depuis de nombreuses années. C'est l'un des plus beaux festivals qui soient et je peux témoigner de sa renommée internationale, ce qui n'est pas le cas de bien d'autres manifestations françaises de ce genre.
            Le festival a grandi, il s'est ouvert au cinéma et à la télévision. Le public est de plus en plus nombreux. Je m'en aperçois en signant de plus en plus de livres. En outre, il a su garder sa dimension humaine en étant proche des détenus qui apprécient cette marque d'humanité.
            J'ai noté lors de la précédente édition des tiraillements qui m'ont heurté. Sans entrer dans les détails, je trouve dommage qu'un élu étale ses divergences de vue face a des écrivains fort connus pour certains, des cinéastes et des acteurs légendaires et le gratin historique de la police judiciaire. 
            Que dire ? Cognac continuera quoi qu'il arrive. Nous nous battrons pour cela. Les idées généreuses ne s'arrêtent pas au coup de sifflet d'un édile mal embouché.
            Vous avez toute mon amitié et tout mon soutien, vous les bénévoles qui donnez tout à la littérature et au cinéma sans compter.
            A bientôt mes amis ! 

            Xavier-Marie Bonnot

 

14/11/2013

            Je suis très heureux et fier d'avoir été sélectionné au POLAR de Cognac. J'ai passé un excellent moment avec une programmation de qualité et exigeante. C'est toujours un plaisir pour un jeune réalisateur d'être sélectionné en festival, mais là, il s'agit du festival de Cognac et c'est encore plus valorisant. Un festival important, renommé, reconnu et indispensable. Ajoutons à cela, un accueil chaleureux, convivial et une équipe du tonnerre. Je soutiens à fond le festival POLAR de Cognac et je vous dis "À l'année prochaine !"
           Merci à Bernard Bec et à toute l'équipe.

            Franck Villette

 

06/11/2013

            En tant qu’auteur, je participe à beaucoup de salons du livre en France et j’ai même eu la grande chance d’en découvrir quelques uns hors de nos frontières.
            Et je dois dire que j’attends la mi-octobre avec impatience chaque année car c’est un réel plaisir que d’être invitée à Cognac…
            Si le Festival Polar de Cognac disparaissait du paysage culturel français, ce serait une grande tristesse pour les auteurs, mais aussi pour les lecteurs.
            Une grande tristesse et une grande perte.
            Les gens aiment le polar, il n’y a qu’à jeter un œil aux rayons des librairies pour s’en rendre compte. Ils aiment aussi le polar sur grand ou petit écran.
            Alors, ce genre littéraire, bien trop longtemps méprisé et méconnu, doit garder son rendez-vous annuel à Cognac !
            Un festival de cette qualité, un festival populaire qui n’est pas réservé à une élite (comme il en existe tant, malheureusement !), c’est une chance pour la ville de Cognac et toute sa région. Ne l’oubliez pas…
            Alors rendez-vous à l'année prochaine !

            Karine Giebel

 

06/11/2013

            Deux fois déjà que je suis invité au festival de Cognac pour un livre sélectionné au Prix Intramuros. Deux fois… sans avoir le prix ! Mais, voilà, je suis tenace et j’espère bien revenir l’année prochaine, voire, les années suivantes. Pour plusieurs raisons. D’abord pour Bernard et toute son équipe qui se décarcassent pour que ce festival puisse vivre et soit de très haute qualité et ensuite pour tous les artistes et auteurs qui y participent. C’est à Cognac que j’en ai connu de fameux qui sont désormais devenus des amis.
            Pour un auteur de polar ou de roman noir, Cognac veut dire quelque chose. Partout en France, les écrivains comme les lecteurs connaissent les prix qui y sont délivrés. Quant aux auteurs qui ne peuvent pas venir, je suis bien content d’être jalousé.
            Alors, à tous ceux qui ont fait la renommée de ce festival, à toux ceux qui participent aux financements de ce festival, à tous ceux qui mettent en place ce festival, j’ai deux choses à vous dire :
1) merci pour cette année
2) vous avez intérêt d’être encore là l’année prochaine !

            Christian Blanchard

 

06/11/2013

            Présent à Cognac pour la troisième année consécutive, j’y retrouve comme chaque année un plateau exceptionnel rassemblant écrivains, acteurs, producteurs, réalisateurs… Une organisation sans faille, des moments d’émotions intenses, une équipe de bénévoles au professionnalisme éprouvé.
            Bref, Cognac, est, reste et doit rester un des hauts-lieux du polar en France, il n’y en a pas tant, et parmi eux, Cognac est sans aucune doute le plus prestigieux et le plus éclectique.

            Michel Bussi

 

05/11/2013

            Bonjour Bernard et merci,
            Quel plaisir d'avoir participé au Festival du Polar ! J'y ai fait de belles rencontres car c'est un festival réalisé dans un esprit de convivialité. L'enthousiasme et l'efficacité de tous les bénévoles est admirable.
            Bravo à tous !

            Liliane Carissimi

 

28/10/2013

            Pour avoir la chance d'être traduit et donc de voyager (un peu, beaucoup) avec mes livres, je sais qu'en Espagne comme en Pologne, à Londres comme à Mar del Plata, à Paris ou à Vienne, festival polar = Cognac. S'il y a un festival du roman policier dont la réputation a franchi les frontières, c'est celui-là. J'ai eu la chance de me voir décerné le Prix POLAR en 2011 et je me souviens qu'à 2 heures du matin, à ma grande surprise, un journaliste de l'AFP était là, dans les salons de mon hôtel, en train de rédiger sa dépêche. Et je me souviens que ce simple nom, Cognac, je l'ai entendu prononcer un peu partout où je suis allé depuis. Et je ne voudrais pas me souvenir, un jour, que Cognac ETAIT au polar français ce que la tour Eiffel est à Paris : je veux que ça continue d'être ainsi. Et j'espère bien que Bernard et Dany Bec et toute leur équipe continueront leur œuvre salutaire encore longtemps. Pour la plus grande gloire de la ville qui les accueille. Et parce que je connais des tas de gens dans des pays lointains qui savent que le Cognac, ça se boit ou ça se lit... 

            Bernard Minier

 

28/10/2013

            I am a British writer residing in France, and I have been a regular at Cognac since 2007 when I won the Prix Intramuros, missing only one year of the last six. In 2012 my book "Le braconnier du lac perdu", the third book in the "Trilogie Ecossaise", won the Prix International. The first book in that trilogy has just won the Barry Award for the polar de l'année in the United States, and the trilogy itself has been published all over the world, selling almost a million copies in the UK alone.

            Everywhere I travel in the world the festival in Cognac is both known and respected. It is a shining star in the firmament of international book festivals, and awards won at it are regarded very highly. In my view, not only does the festival enhance the name and reputation of the town, but it also reinforces and certainly boosts sales of Cognac brandy, which is a marque known throughout the world. I would be - forgive the pun - a crime not to support this festival fully.

            Peter May

 

26/10/2013

            Cher Bernard
            Je voulais te dire quelques mots sur ce week-end totalement unique du festival POLAR de Cognac. Comme les autres auteurs avec lesquels j'ai échangé ces 3 jours, j'ai été impressionné par la qualité humaine de ce festival unique en son genre. Au-delà de la dimension compétition et hommage, qui a célébré autant les talents d'aujourd'hui dans le paysage du roman policier que les "historiques" avec l'émotion Lautner, que seule une manifestation à taille humaine comme Cognac pouvait réussir, "Cognac/Polar" est avant tout le succès d'une équipe - toi Bernard, et Dany ! et de nombreux bénévoles, totalement impliqués dans une aventure qui porte pour eux - je le sais ils me l'ont tous dit et répété - bien au-delà des seuls jours du festival. C'est ça le vrai assemblage de ce Cognac-là : un savant dosage de professionnalisme, d'enthousiasme et de passion. Pour le plus grand plaisir de toute une ville et au service de la culture - la vraie - celle qui parle au plus grand nombre, aux gens ordinaires comme aux amoureux de livres et de récits.
            En te remerciant, en tant qu'auteur et en tant que passionné de littérature et de livres, et enfin de défenseur de la culture d'aujourd'hui, celle de la vie qui va...
            Amicalement,

            Michel Moatti

 

25/10/2013


            Un Cognac toujours aussi magique !
           Comme toujours, le meilleur Festival du Polar nous a reçu cette année à Cognac. Difficile d’être plus dithyrambique que d’habitude vu que les organisateurs, avec le peu de moyens qu’ils ont, se démènent comme ils peuvent pour satisfaire au mieux les invités comme les visiteurs. Mais tant que perdurera ce festival, nul doute que le bonheur existera encore. Merci Bernard, merci Dany et tous les autres.


            Joseph Ouaknine

 

25/10/2013

            « Le polar est en vogue, on ne compte plus les villes qui lancent leur festival et leurs rencontres autour de ce thème. Mais il y a un événement qui reste, et de loin, la référence en la matière, c'est le festival de Cognac. Beaucoup copié, jamais égalé. Temps fort de la vie culturelle locale et nationale, Cognac attire des auteurs de renom, des célébrités du monde cinématographique, télévisuel et littéraire. Mais Cognac est aussi un tremplin pour de jeunes auteurs, dont je fais partie. Tous les participants, année après année, 2013 n'a pas fait exception, soulignent la disponibilité des bénévoles, la gentillesse de l'encadrement et surtout l'organisation sans faille d'un événement de renom qui a su, tout en restant gratuit, ne sacrifier ni à la qualité ni à la diversité de sa sélection. Cette organisation doit beaucoup à l'engagement total de Bernard Bec.
            Parce que Cognac est une réussite dont l'aura dépasse largement la ville et sa région, Cognac doit continuer. C'est mon vœu le plus cher. »

            Sylvain Forge, auteur (Nantes)

 

25/10/2013


            Touche pas au cognac,  S…  !
            Je suis un récidiviste, cette année, pour la deuxième fois, le Bec m’a invité. Je n’avais aucune actualité pourtant, mais c’est ainsi, ça s’est fait à l’amitié, en échange d’une conférence sur les 100 ans de la PJ Parisienne.
            Je ne connais pas beaucoup de rendez-vous sur le polar qui peuvent se vanter d’avoir parmi leurs invités deux anciens directeurs du 36 Quai des Orfèvres, un magistrat anti terroriste et un réalisateur culte. Claude Cancès, grand flic et remarquable conteur (mon ami et complice), Martine Monteil (1ère et seule femme à ce jour à avoir dirigé le Quai), Gilbert Thiel, qui a eu face à lui Guy Georges, et Georges Lautner, l’homme des Tontons Flingueurs : Sacrés clients.
            Un soir qui devait être de gala, un ludion légitimé provisoirement par la grâce du suffrage universel, a consterné l’assistance : « le festival du polar a 18 ans, il est majeur et doit voler de ses propres ailes ». Nous nous sommes regardés, atterrés, nous les auteurs, les invités, nous avons compris que Cognac était en grand danger !
On ne rigole plus là, c’est la mobilisation, on ne passe pas !
            Je vous le dis, Cognac doit vivre : Bien sur c’est le breuvage qui est le plus célèbre, le nectar, mais il est vendu à 98% à l’exportation. En revanche, lorsque je dis que je suis invité au festival, tous mes interlocuteurs dressent l’oreille : Le polar à Cognac, c’est connu et même reconnu.
            Ok, c’est la crise, tout va mal… Il faut faire des efforts, se serrer la ceinture. Mais lorsque la foule, le public est au rendez vous, on fait quoi ? On méprise ? J’ai croisé des gens heureux de discuter avec les auteurs, d’assister aux projections et sans débourser un euro ! C’est fort, non : Un festival avec des invités de prestige (j’ai un égo démesuré comme tous les auteurs, mais je me soigne), où tout est accessible.
            Si les caciques qui distribuent les subsides peuvent nous écouter, ce serait un vrai bonheur : Ne faites pas entrer la tristesse dans cette jolie ville, ne laissez pas la morosité et l’aigreur détruire ce festival. Ici, on vit, on rit, on échange. Et on en parle bien après en être parti.
            Bernard Bec est un honnête homme, dans le sens où l’écrivait Montaigne !
Parfois on aimerait bien la faire à l’ancienne, à la sulfateuse, menacer les impétrants et les hommes de peu de goût de « nervous breakdowns », de « migraines », de « nuits agitées »… Mais, ce ne serait ni raisonnable, ni courtois …
            Alors, je plaide, en amateur, en témoin :
            Vous qui avez la main au portefeuille,
            Vous qui savez que la culture populaire n’est pas juste un concept,
            Vous qui avez vu le public drainé par le festival et les sourires de tous,
            Aidez Cognac !
            Aux armes citoyens subventionneurs, sortez les picaillons !

            Matthieu Frachon
            Auteur, spécialiste de l’Histoire de la Police, Conférencier.

 

25/10/2013

            Mon cher Bernard, ton dernier Festival était un pur plaisir. Les sélections Livre étaient de belle tenue, Marin Ledun, c'est un bon ! Jamais vu autant de monde en salle de projection. Jamais vu autant de bons films en si peu de temps. L'ouverture au théâtre est une superbe idée. La presse a bien salué ton initiative. On espère que tes soutiens continueront et amplifieront leur aide. Courage à toi !

            Gérard Streiff

 

25/10/2013

            "On ne peut pas écrire que l’habitude est une des notions premières des romanciers. Pour embrasser cette vocation, il faut ne pas aimer l’habitude sous toutes ces formes, et préférer l’aventure et la surprise. Il faut apprendre à ne s’habituer à rien, à toujours se remettre en question. Dans sa vie et dans son œuvre. Pourtant, il y a une habitude à laquelle il me semble impossible de déroger. Je vous donne un indice (déformation professionnelle) : elle a lieu le troisième week-end d’octobre, dans une ville qui a donné son nom à une boisson alcoolisée connue et reconnue dans le monde entier. Pendant ce week-end, le monde du polar tout entier (aussi bien français qu’européen) a les yeux rivés sur les alambics du Château Otard le vendredi, sur l’invité d’honneur le samedi (autre indice: cette année, il s’agissait d’un tonton flingueur…), et le dimanche, ces mêmes yeux pleurent déjà d’avoir à patienter 363 jours pour revivre ces trois jours à nouveau. Allez… Vous ne trouvez pas ? Cette habitude, c’est le Festival POLAR de Cognac. Et penser qu’il pourrait disparaître à cause de quelques coupes sombres dans les budgets municipaux… Cela devrait vous faire frissonner (un vrai thriller !) Il faut déjà mesurer le travail accompli par Bernard et Dany Bec jusque là avec leurs moyens moyens. Une qualité de programmation cinématographique et télévisuelle de premier choix, des conférences avec de prestigieux invités, des dédicaces de plus en plus nombreuses… Les festivaliers de toutes sortes sont rarement mieux choyés que lors de ce Festival. Alors merci à Bernard et à Dany et à leur fantastique équipe de bénévoles !

            Vive les 19 ans du Festival ! Et vive la prochaine grande fête de ses 20 ans ! 

            Bertrand Puard, auteur et Prix POLAR Jeunesse 2012"

 

25/10/2013

            Alors...
            Je viens de relire ma lettre de soutien de l'an dernier, et je m'étonne de devoir en écrire une nouvelle cette année. Preuve s'il en est que les beaux discours de l'an dernier (repris in extenso cette année) n'ont rien changé.
            C'est râlant de songer qu'en coulisse on s'acharne à vouloir couler un tel événement sans réfléchir au fait qu'un Lautner, un Marchal et tant d'autres (un Giovanni par exemple) n'auraient sans doute jamais mis les pieds à Cognac (ce en quoi ils auraient eu tort, mais c'est une autre histoire) sans Bernard Bec et son festival.
            J'ai vu des publics captivés par des conférences sur Jack l’Éventreur, sur le 36 Quai des Orfèvres, sur les souvenirs de tournage de Lautner. La salle était comble, et une partie du public occupait les marches d'accès...C'est dire l'intérêt !
            Lors des avant-premières autant que pour la projection des Tontons Flingueurs, c'est à la baïonnette qu'il fallait conquérir son siège !
            Le festival est un irremplaçable lieu de rencontre entre les divers métiers de la création littéraire et cinématographique.
            Alors quoi?
            Soutenir le festival par la parole, c'est ce qu'on appelle jouer la mouche du coche ! Il faudrait peut-être aussi mettre la main à la poche pour l'aider à vivre, et non à survivre. Montrer qu'une municipalité de gauche peut faire au moins aussi bien que le camp d'en face en matière culturelle... sans se faire tirer l'oreille !
            Allez... la 18ème édition a été un succès. Gageons que la prochaine sera encore meilleure.


            Gérard Lapagesse

 

24/10/2013

            "Le Festival de Cognac disparaître ? C'est une plaisanterie, de mauvais goût d'ailleurs. Les zozos qui veulent sa mort sont-ils au courant des retombées qu'il génère pour la Ville ? Si ce n'est pas le cas, je les affranchis... "Cognac", comme on l'appelle dans le métier, a une aura extraordinaire. Mon agent qui vit et travaille à New York (j'aime me la péter en le précisant), m'a confié que "Cognac" est le seul  événement que les professionnels américains connaissent. Et quand il annonce que j'ai eu le Prix POLAR en 2008, c'est un peu comme s'il leur disait que j'ai décroché le Pulitzer. "What !, He got the Cognac award ? Congratulation, fantastic !" Eh oui, le succès de "Cognac" a franchi l'Atlantique. Mais ce n'est pas tout. Depuis que j'ai eu ledit prix, qu'écrit la presse quand elle parle de moi ? Philippe Bouin, Prix Cognac 2008. Eh oui, j'en ai eu d'autres, mais il n'y a que celui-là qui compte. A chaque fois qu'on me cite, le nom de Cognac apparaît. Y compris dans les livres que j'ai écrits depuis. J'ose à peine dire aux zozos précités ce que leur coûterait une publicité pareille s'ils devaient la payer... parce que nous devons être plusieurs auxquels on associe son nom. Alors, si les zozos persistent dans leur volonté de couler ce Festival, ô combien prestigieux, j'espère que les Cognaçais leur diront leur façon de penser. Il y a des urnes pour cela."


            Philippe Bouin

 

24/10/2013

Cher Bernard,
            Nous avons été très heureux de présenter « Caïn », dans la sélection série télé, au Festival POLAR de Cognac.
            Le public était au rendez-vous et la rencontre avec les lycéens, fort instructive.
            Nous avons été merveilleusement bien reçus, ce festival est à ton image, chaleureux, humain, convivial et d'une grande qualité artistique.
            Merci à toi et ton équipe, merci de nous avoir permis de voir de beaux films et rencontrer des personnalités passionnantes.
            Alors que ce soit dans le cadre d'une sélection ou non,  c'est avec bonheur que nous reviendrons l'année prochaine....
            Bien amicalement


            Linda Chabert, productrice.

 

24/10/2013


            « Je tiens à remercier Bernard Bec et toute son équipe pour l’accueil chaleureux, et, au-delà, pour la réussite incontestable de ce festival. Une dimension humaine, de réelles rencontres, un foisonnement artistique d’une rare densité. C’est un écrin que vous avez constitué là, exigeant d’un point de vue artistique, mais aussi convivial et populaire. Le temps y est suspendu, et ceux qui y participent, c’est mon sentiment, y vivent comme un condensé d’existence, magnifique. La création d’un « POLAR » pour le théâtre est une merveilleuse  idée, unique en France, preuve qu’une autre richesse de ce festival est son interdisciplinarité. Il faut que ce festival puisse perdurer, obtenir la sérénité d’un fonctionnement à long terme, car il est essentiel à un très large champ artistique. ».
 

           Thierry Simon, auteur, metteur en scène de Vivarium S01E02, « POLAR » 2013 de la meilleure pièce de théâtre.

 

21/10/2013


            Encore plus fragilisé, cette année, par la suppression totale de la subvention de l’État français, par la baisse de près de 40% de celle du Conseil général de la Charente, le Festival POLAR de Cognac va se trouver face à un mur pour l'édition de 2014. Sans renier nos fondements sur l'entière gratuité de la manifestation, nous allons devoir revoir l'organisation complète pour que des partenaires privés, des mécènes, acceptent de nous rejoindre et de nous financer. La ville de Cognac, ou du moins la municipalité actuelle, aura, elle aussi, sa part de responsabilité dans le devenir de ce Festival reconnu par le monde entier. Espérons que ses promesses de 2008 seront enfin tenues et que nous pourrons ainsi projeter sereinement la prochaine édition qui se tiendra du 17 au 19 octobre 2014. Le lancement de celle-ci devrait avoir lieu le 16 octobre à 20h00 avec la pièce lauréate de cette année. Croisons les doigts très très fort !
            Comme en 2012, nous avons demandé aux invités et aux primés de témoigner. Voici ci-dessus leurs réactions à chaud.


            Bernard Bec, Président du festival.

 


Ils sont venus à Cognac pour le Festival POLAR 2012... ils témoignent.

07/11/2012

En vérité, je vous le dis très clairement, en matière de Polar, Cognac possède une notoriété, une aura que n’a nul autre festival aujourd’hui. Presque un sésame, en fait. J’en ai pour preuve un article me concernant paru dans le Progrès. La rédaction du journal ne m’a contacté que lorsque qu’ils ont su que j’étais invité à ce festival.
Cognac doit durer. Ne serait-ce que pour les nouveaux auteurs qui, demain, viendront.

Christian Ego


05/11/2012

Hello, Bernard,
Juste un mot pour t’exprimer le plaisir et le bonheur d’avoir été invité à partager ces trois jours de fête.
Le vendredi du lancement, tes paroles m’ont touché. L’évocation des difficultés, l’appréhension d’un futur incertain, les moments inoubliables des années précédentes, il y avait comme un vieil air de blues qui flottait. Mais tout comme dans les meilleurs morceaux de blues, il n’y avait pas que de la tristesse, aussi et surtout une belle énergie, un amour de la vie et des autres, et je me suis dit “il y aura encore de beaux jours à Cognac, c’est sûr !”
Pour le cinéma, le polar, le roman, la BD, hauts les cœurs !

Je ne suis pas peu fier d’avoir été l’un des lauréats parmi tous les illustres.
Amitié,
Max Cabanes


04/11/2012

Voici un soutien de taille qui n’a pas pris une ride même s’il date un peu… Et merci à Jacques Humbert de l’avoir exhumé et de nous l’avoir envoyé.

Victor Hugo défend le budget de la culture / Discours prononcé le 10 Novembre 1848 devant l'Assemblée Nationale.

« Personne plus que moi, messieurs, n'est pénétré …/… de l'urgente nécessité d'alléger le budget (de l’Etat).
J'ai déjà voté et continuerai de voter la plupart des réductions proposées, à l'exception de celles qui me paraîtraient tarir les sources même de la vie publique et de celles qui, à côté d'une amélioration financière douteuse, me présenteraient une faute politique certaine.
C'est dans cette dernière catégorie que je range les réductions …/… sur …/… le budget …/… des lettres, des sciences et des arts.
Ce système d'économie ébranle d'un seul coup tout net cet ensemble d'institutions civilisatrices qui est, pour ainsi dire, la base du développement de la pensée française. Et quel moment choisit-on ? C'est ici, à mon sens, la faute politique grave que je vous signalais en commençant : quel moment choisit-on pour mettre en question toutes les institutions à la fois ?
(Au) moment où elles sont plus nécessaires que jamais, le moment où, loin de les restreindre, il faudrait les étendre et les élargir. Eh ! Quel est …/… le grand péril de la situation actuelle ?
L'ignorance. L'ignorance encore plus que la misère. L'ignorance qui nous déborde, qui nous assiège, qui nous investit de toutes parts. C'est à la faveur de l'ignorance que certaines doctrines fatales passent de l'esprit impitoyable des théoriciens dans le cerveau des multitudes. Et c'est dans un pareil moment, devant un pareil danger, qu'on songerait à attaquer, à mutiler, à ébranler toutes ces institutions qui ont pour but spécial de poursuivre, de combattre, de détruire l'ignorance.
On pourvoit à l'éclairage des villes, on allume tous les soirs, et on fait très bien, des réverbères dans les carrefours, dans les places publiques; Quand donc comprendra-t-on que la nuit peut se faire dans le monde moral et qu'il faut allumer des flambeaux dans les esprits ?
Un mal moral, un mal profond nous travaille et nous tourmente. Ce mal moral, cela est étrange à dire, n'est autre chose que l'excès des tendances matérielles.
La grande erreur de notre temps, ça a été de pencher, je dis plus, de courber l'esprit des hommes vers la recherche du bien matériel.
Il importe, messieurs, de remédier au mal …/… il faut relever l'esprit de l'homme, le tourner vers la conscience, vers le beau, le juste et le vrai, le désintéressé et le grand. C'est là, et seulement là, que vous trouverez la paix de l'homme avec lui-même et par conséquent la paix de l'homme avec la société. Pour arriver à ce but, messieurs, que faudrait-il faire ?
Il faudrait multiplier les écoles, les chaires, les bibliothèques, les musées, les théâtres, les librairies. Il faudrait multiplier les maisons d'études où l'on médite, où l'on s'instruit, où l'on se recueille, où l'on apprend quelque chose, où l'on devient meilleur ; en un mot, il faudrait faire pénétrer de toutes parts la lumière dans l'esprit du peuple ; car c'est par les ténèbres qu'on le perd.
…/…
L'époque où vous êtes est une époque riche et féconde ; ce ne sont pas les intelligences qui manquent, ce ne sont pas les talents, ce ne sont pas les grandes aptitudes ; ce qui manque, c'est l'impulsion sympathique, c'est l’encouragement enthousiaste d'un grand gouvernement. Je voterai contre toutes les réductions …/… qui amoindriraient l'éclat utile des lettres, des arts et des sciences. Je ne dirai plus qu'un mot aux honorables auteurs du rapport. Vous avez cru faire une économie d'argent, c'est une économie de gloire que vous faites. »
Sacré Victor. Non seulement il écrivait de bons polars, mais il savait aussi les défendre.

J. H. - Prix POLAR 1996,
auteur, auteur-compositeur, critique,
sympathisant de la 1ère heure et bénévole à vie.


01/11/2012

Voir Cognac et mûrir

Maigret aimait le cognac. C’était sa pause réflexion, sa retraite monacale, son antidote à la noirceur du monde, son instant volé au crime.
Sherlock Holmes buvait du thé – ces britishs, il faut toujours qu’ils se distinguent. Marlow était plutôt Scotsch, Malko Linge ne jurait (comme un polonais ?) que par la Vodka, Gabriel Letourneur dit Le Poulpe se tapait des bières en cascade, trappistes, Allemande, voire blanche ou Japonaise et, last but not least, qui ne connaît le fameux Dry Martini shaked, not stirred de James Bond 007.
Bourel et Moulin ne buvaient pas, ORTF oblige.

Mais une chose est certaine : depuis 30 ans cette année, Cognac rime avec Polar, Crime, Mystère, Ombre et Lumière, Vérité et Secret.
Et qu’apprend-on aujourd’hui ?
Le Festival du Polar de Cognac est en danger de mort !
Quoi de surprenant, me direz-vous ; comme le faisait dire Prévert à Michel Simon et Françoise Rosay dans Drôle de Drame, « à force d’écrire des choses horribles, les choses horribles finissent par arriver».
Sauf que, cette fois, ce n’est pas de la fiction. Les comptables ont les conteurs dans leur viseur. Et avec eux les 2700 spectateurs qui sont venus pour certains des quatre coins du pays et même de toute l’Europe (soit, cela dit en passant, une progression de fréquentation d’environ 30%). Idem pour les visiteurs de la Grande Librairie (environ 3500) sans parler des ventes de livres qui, elles aussi, de l’avis des auteurs, des libraires, des éditeurs et des lecteurs, ont battu des records.
Mais qu’importe. On ferme le robinet de l’irrigation culturelle régionale au risque d’asphyxier un évènement qui, à l’image de l’élixir dont il brandit haut et fort le verre tulipe, doit sa qualité croissante, son audience grandissante, aux caresses du temps.
Après 16 années de maturation, d’évolution, de bonification et d’assemblage, ce qui fut successivement brouillis puis bonne chauffe,  tête, queue, seconde et  cœur de chauffe,arrive aujourd’hui à maturité. Gageons qu’une ville et une région qui doivent tant au temps sauront donner au festival les moyens de devenir (s’il ne l’est déjà) un très grand cru.

Jacques Humbert - Prix Polar 1996,  auteur, auteur-compositeur, critique, sympathisant de la 1ère heure et bénévole à vie.


30/10/2012

Cher Bernard,
C'est vraiment un plaisir d'assister à Polar Le Festival de Cognac. Pour moi, c'est la fête la plus importante de l'année. L'accueil est toujours chaleureux pour les lecteurs et les auteurs. Tout le monde attend avec impatience le week-end à Cognac chaque année.

Mais plus important encore, ce fut une année très spéciale pour moi. J'ai été très ému de remporter le Prix International cette année. Cela signifie beaucoup pour moi. Et comme vous le savez, il est très important pour les éditeurs, aussi, parce que les Prix sont respectés non seulement en France mais dans le monde entier.

Déjà, grâce à l'Internet, les nouvelles du Prix International, et le nom de Cognac est mentionné dans tous les articles en anglais qui peuvent être lus partout.

Il est difficile de croire que l'avenir du festival est menacé. Il serait terrible pour le Festival et pour la ville de Cognac si le festival devait être tué.

J'espère que vous trouverez tout le soutien dont vous avez besoin afin que le festival puisse vivre toujours...

Peter May


30/10/2012

Bonjour,
Bravo et un grand merci pour ce beau festival, à l'échelle humaine !!
Toulousains, nous sommes venus pour la première fois au festival polar de Cognac cette année, et nous nous sommes régalés. Nous sommes bien sûr de grands amateurs de polars (romans et films), particulièrement ceux qui nous renvoient à une réalité souvent difficile, mais tellement poignante, humaine et souvent surprenante. Notre chouchou, Henning Mankel bien sûr !!
La qualité de la programmation nous a tout simplement emballé : les scénarios, les acteurs, la musique, la photo, que ce soit pour les séries, les films télé, les court-métrages et les films de cinéma. Nous avons également assisté à la rencontre avec le fils de Jean-Patrick Manchette, très intéressante. Par contre, le temps nous a un peu manqué pour profiter pleinement de l'espace BD et romans. Mais nous avons gardé toutes les références des auteurs, ce qui nous promet un hiver littéraire au coin du feu.
Nous avons également adoré la convivialité et l'accueil chaleureux et enthousiaste des organisateurs, en toute simplicité, bref, un petit bijou ce festival, dans lequel on s'est de suite senti un peu "chez nous".
Sûr que l'année prochaine, nous revenons, avec le fils Adrien et sa chérie, Cricri et coco, et sûrement d'autres encore...
Encore bravo, que le FESTIVAL DURE ET PERDURE POUR NOTRE PLUS GRAND PLAISIR.

Maryse et Michel, de Brax (31)

 


30/10/2012

Le Festival Polar de Cognac est un rendez-vous incontournable du genre en France, et peut-être même dans l'Europe toute entière. Je suis particulièrement attaché à ce Festival. Le prix Cognac obtenu pour mon premier roman en 2001 m'a permis d'entamer ma carrière littéraire sous le meilleur des patronages possible. L'aura du festival est considérable auprès des lecteurs et des cinéphiles. Il est une vitrine fantastique pour les œuvres qui s'y retrouvent. Je suis d'autant plus sensible au maintien de cette manifestation qu'ayant été à nouveau lauréat d'un prix en 2012, je me vois mal clôturer un palmarès lorsque l'on connaît la richesse du polar français.
Que vive le Festival Polar de Cognac ! Ces trois jours passés entre passionnés, ouverts à tous, ce festival à taille humaine ! Longue vie à lui et à la formidable équipe qui le mène de main de maître: Bernard et Dany Bec et l'ensemble des bénévoles !
A l'année prochaine, donc !

Bertrand Puard, auteur


29/10/2012

Il y a une semaine je présentais mon premier roman au Festival Polar. Cette opportunité je la devais à Bernard Bec et à son équipe, qui, avec professionnalisme et convivialité ont toujours eu le mérite de réunir plumes confirmées et nouveaux auteurs. Grâce à eux, j'ai pu nouer des contacts et vivre des moments qui comptent dans le parcours d'un jeune auteur. Ce festival, plus qu'un coup de pouce, est une chance offerte pour tous ceux qui comme moi espèrent écrire de nouvelles pages
Vive le Festival Polar de 2013 !

Christian Drillaud, nouvel auteur

 


29/10/2012

La première fois que je suis venue à Cognac, à l’époque pour le Salon du Polar, c’était en 2006. A ma grande surprise, mon second roman, Meurtres pour rédemption, faisait partie des 11 romans finalistes du prestigieux Prix Polar.
J’y suis revenue ensuite de nombreuses fois, notamment pour Intramuros, Prix que j’ai eu le bonheur de recevoir en 2008 pour un autre de mes romans et qui m’a permis de participer à des rencontres en prison qui restent pour moi des moments d’une incroyable intensité.
Et cette année, nouvelle émotion forte : mon dernier roman reçoit le Prix Polar…

Ce Festival, c’est un rendez-vous incontournable qu’un auteur ne voudrait rater sous aucun prétexte. Tous les écrivains (et aujourd’hui producteurs, comédiens, réalisateurs…) y sont accueillis chaleureusement, avec tous les égards possibles, par une formidable équipe de bénévoles. Bernard et Dany Bec, ainsi que tous les autres, se plient en quatre pour que tout soit parfait et pour que chacun n’ait qu’une seule envie : revenir.
C’est un lieu de rencontres, avec les lecteurs mais aussi avec d’autres auteurs, des réalisateurs, des comédiens, des producteurs… Tous réunis autour du polar et du roman noir grâce à vous, Bernard et Dany.
Soyez-en remerciés du fond du cœur.

Je ne peux même pas imaginer que ce festival soit en danger pour des raisons financières. Je ne peux même pas imaginer qu’un jour, en plein mois d’octobre, je me dise avec tristesse et amertume : tiens, c’est ce week-end qu’aurait dû se tenir le Festival Polar de Cognac.

Karine Giébel

 


29/10/2012

De retour de Cognac, certes avec un premier prix qui met toujours d'excellente humeur (POLAR de la meilleure série française pour « Mafiosa »), je tiens à témoigner du plaisir pris à ces 3 jours à Cognac, malgré la pluie.

Je suis venue avec deux équipes ("Un flic" en avant première) et pour la première fois à ce festival dont j'ai toujours entendu parler, et j'ai pu alors vérifier de l'importance de soutenir le genre Polar, toujours vaillant, tant en littérature qu'en images. D'autant, que, et c'est une particularité féconde, ce festival mêle télévision et cinéma, littérature aussi, et croise les supports et les formats.

C'est ainsi que les acteurs, réalisateurs qui m'accompagnaient et moi-même avons eu l'occasion d'échanger, de rencontrer, lors des repas fort sympathiques, d'autres auteurs et réalisateurs. Et ces moments d'échange sans enjeux précis sont précieux, nourrissent et peuvent féconder le travail de chacun.

Nous avons aussi visionné des films ou téléfilms que nous avions laissé passer ; en remerciant les sélectionneurs pour les choix opportuns.

J'espère donc que des moyens seront trouvés pour que le Festival perdure encore longtemps.

Nicole Collet, productrice


28/10/2012

Longtemps j'ai cru que je venais à Cognac dans le seul but de signer des livres et baratiner comme un camelot les visiteurs... Petit à petit, j'ai compris qu'il y avait mieux à faire que d'y effectuer à leur place ce que mes "bras cassés" d'éditeurs ne faisaient pas : la promotion de mes romans.
Aussi, maintenant, je prends quelques libertés avec ma chaise et mon bout de table, pour multiplier les rencontres avec d'autres auteurs, des dessinateurs de BD, des gens de la télé et du cinéma. Pour ce genre d'exercice, Cognac est fantastique !
On en repart galvanisé, la tête pleine de projets qui n'aboutirons pas tous, mais le simple fait de les avoir évoqués est dynamisant. Mon second roman est né à Cognac, d'une rencontre avec un éditeur (qui n'a pas été plus mariole que le précédent, mais le bouquin existe !)
Cette année, je me suis fait deux potes (dont un ex N°2 de la grande maison) en animant un débat sur le 36 Quai des Orfèvres, et j'ai réussi à ne pas me fâcher avec Tristan Manchette dans un autre débat, à propos de son père ! C'était pas gagné !
L'an dernier, c'était le biographe de Dashiell Hammett, et sa traductrice que j'interviewais. Débat bilingue, if you please !
Comme on dit maintenant : du lourd à chaque fois ! D'accord, si ça n'avait pas été moi, c'eût été quelqu'un d'autre. Mais je suis heureux que ce fut moi ! Ce sera ma petite contribution au festival, à défaut d'y décrocher un prix.
Cognac, c'est une date importante ; entourée et soulignée trois fois sur nos agendas. Parce qu'il s'y passe ce qu'il s'y passe, et parce que nous sommes reçus comme des rois.
Alors, s'il vous plaît... pour une fois que la littérature nourrit des gens comme moi... !

Gérard Lapagesse

 


26/10/2012

La mort programmée du Festival Polar de Cognac ? Tournerait-on de nouveau Ascenseur pour l'échafaud ?
Parce qu'à propos d'ascenseur, difficile de ne pas le renvoyer à Bernard Bec et toute son équipe qui portent à bout de bras ce festival depuis presque 20 ans. Après quatre passages à Cognac (deux sélections Intramuros et deux au Festival Polar), je peux témoigner de l'excellent accueil réservé aux « artistes » autant que de la parfaite organisation qui prévaut pendant ces trois jours de rencontres humaines et professionnelles, de projections, de conférences… et qui font aujourd'hui de Cognac un rendez-vous incontournable du genre Polar.
Aucune frilosité, aucune Scoumoune ne pourrait justifier de pousser le Festival dans Le Trou. Au contraire : un Aller-simple en Classe tous risques et Ho ! revoilà les Grandes gueules sur le devant de la scène. Donner son Deuxième souffle au festival sera le plus sûr moyen d'éviter à Cognac de se transformer en égouts du Paradis.
Comment dis-tu déjà, Bernard ?
Ah oui : POLARement vôtre !

Pascal Vatinel


26/10/2012

La magie d’un festival hors du commun

Cela fait longtemps que je viens à Cognac chaque année, et c’est toujours avec autant de plaisir ! Le meilleur Festival de Polar à coup sûr.
Prenant la route au petit matin, je vois sur l’autoroute le jour se lever, mesurant sur l’ordinateur de bord le nombre de kilomètres qu’il me reste avant d’atteindre le bonheur.
Et puis voilà, les bagages vite fait jetés dans la chambre d’hôtel, on baigne déjà dans l’ambiance du festival. Le temps de faire quelques courses cognaçaises, les commerçants devenus par la force du temps des amis, et c’est déjà la remise des prix. Dany qui court dans tous les sens pour satisfaire aux petits désirs de chacun, Bernard et ses discours toujours poignants, les invités, les lauréats… que du bonheur. Un repas au château Otard, la merveilleuses assiette de fruits de mer… musique, chansons, il n’est pas loin de 3 heures du matin quand on s’écroule dans son lit.
Que le temps défile vite à Cognac ! Bien trop vite ! Un somptueux repas à la Mairie, des jours qui ressemblent à des années, des heures qui semblent éternelles, et voilà c’est déjà le retour au bercail, des souvenirs plein la tête, de nouvelles amitiés qui se sont forgées, dans le noir de la route du retour, mesurant le temps qui reste avant le prochain festival, on attend déjà l’année suivante !
Fini le festival ??? Bon Dieu, mais c’est la fin du monde !!!

Joseph Ouaknine


26/10/2012

Originaire de Cognac, il y 25 ans de cela, encore gamin, j’animais sur la défunte radio Douce France, une émission intitulée tout simplement « 7éme Art », rendez-vous hebdomadaire sur le cinéma. A ce titre, j’ai, durant des années assisté, comme média local, et fan de polar, au festival international du film policier de Cognac. De belles rencontres, des projections incroyables, des souvenirs marquants pour un jeune homme féru d’écran large.
Depuis, je suis devenu acteur ! De publicités en séries télévisée, de pièces de théâtre en films de cinéma, moi le petit Charentais je perce dans cette noble activité de comédien. Pour alimenter mon art je m’enrichis de rencontres bien sûr, mais aussi de lectures, de films, de bande dessinées, de musiques…d’autres arts que le mien !.
Alors évidemment,  quand on m’a demandé, en « local » d’étape de venir présenter comme maître de cérémonie la dix-septième édition du polar de Cognac, j’ai de suite répondu par l’affirmative. Et j’ai rencontré des bénévoles dévoués et passionnés, qui avec des moyens limités, œuvrent pour que le polar, la ville, le Cognac, soient mis à l’honneur. Et vous savez quoi, ça marche ! J’ai discuté avec des réalisateurs, des producteurs, des acteurs, ils furent tous enchantés de ce brassage culturel, de cette ville qu’ils ne connaissaient que de nom, et de ce festival où la proximité avec les autres artistes mais aussi et surtout le public leur rendait ce week-end précieux.
Et en tant que cognaçais,  j’ai été fier de voir que ma ville portait haut et fort les couleurs de cet art qui m’anime, ainsi que la découverte d’autres corps de métier dont le polar fait vibrer le cœur. Il existe bien sûr d’autres manifestations d’envergure en Charente, peut-être d’autres priorités, mais rassembler sur trois jours des acteurs, des écrivains, des réalisateurs, des éditeurs, des producteurs, des diffuseurs, des magistrats, des flics voire des voyous, il n’y à qu’à Cognac que j’ai, que nous avons, vu ça !
Dans un an le festival du polar atteindra sa majorité, ses dix huit ans. C’est dire la pugnacité indéfectible de l’équipe de bénévoles, emmené par un Bernard Bec à la passion débordante. Il faut que le festival continue de grandir car ce faisant c’est l’âme d’une ville, d’une région qui resplendit par delà nos frontières charentaises.
Un bon polar ne finit jamais mal, ne laissons pas tomber le festival !

François Bureloup, comédien


26/10/2012

Faut que ça dure...

Bernard, encore merci de l'invitation ; je me considère comme un fidèle de Cognac et je peux te dire - je le répète volontiers autour de moi - que la "mutation" de ton salon en festival est réussie, cet élargissement (roman+BD+films) se traduit par un public renouvelé, complémentaire, rajeuni, on le voit bien dans nos échanges d'auteurs avec les lecteurs ; c'est un festival qui a un "rythme" (projections, débats, etc) assez unique ; en ces temps où - ici et là - on cherche à raboter sur la culture (alors qu'on n'a jamais eu autant besoin de culture !), c'est vraiment un plaisir de voir vos résultats à Cognac ; d'ailleurs la presse ne s'y trompe pas et ta couverture (locale) est vraiment bonne ; on se disait, avec Doug, le fils Manchette, que ce festival mérite aussi la présence plus forte de critiques des grands médias nationaux ; je suis sûr qu'il y a là un écho plus grand à gagner à Cognac ; je t'écris tout ça car je t'ai entendu, vendredi dernier, durant l'inauguration, parler de tes doutes et de tes difficultés à engranger des aides pour le (les) prochain festival ! Non seulement ton festival doit continuer mais il va prospérer, tout simplement parce qu'avec la "crise" comme on dit, les gens vont avoir de plus en plus besoin de cet imaginaire qu'apporte votre initiative.
Merci et chapeau !

Gérard Streiff, auteur, journaliste, historien


26/10/2012

Invité au festival Polar de Cognac en 2011 et 2012, et lauréat du Prix des Lecteurs des Bibliothèques et des Médiathèques en 2011, j’ai pu constater à quel point ce festival est un lieu unique de rencontres. Outre l’accueil exceptionnel et l’investissement sans faille des bénévoles, la grande originalité de ce festival est d'associer dans un même événement des romanciers, des scénaristes, des réalisateurs, des acteurs... Je peux ainsi témoigner que par la qualité du « plateau » 2011 et 2012, des adaptations de mes romans, mais également des idées originales de long-métrages, sont nées à Cognac, pour ensuite prendre une réalité concrète au cours de l’année.
Il est donc primordial pour l’univers français du Polar que Cognac demeure encore longtemps ce lieu d’échanges exceptionnel.

Michel Bussi, romancier


22/10/2012

A VOUS COGNAC !
J’AI !
La gare Montparnasse était moche, il faisait un temps à ne pas mettre un écrivain dehors. J’avais décarré de ma cagna aux aurores, 8 plombes du mat. Direction Cognac, invité au festival que j’étais. Au bigophone, il avait l’air sympa le boss, un certain Bec, Bernard Bec. On avait jacté de mon œuvre et d’un peu de tout durant 40 minutes. Je suis comme tous les plumitifs, j’ai l’ego chatouilleux.
- Invité, moi ? Mais bien sur ! Il y aura des filles ?
La liste des autres casse-bonbons, pardon auteurs, était élégante et j’avais l’impression d’être la fausse note, la mouche dans le lait, le petit cousin qu’on invite pour faire le nombre… Bref, comme disait Pépin, je ne vais pas m’étendre, mais le Bernard avait fait dans le grand, je ne vais pas balancer les blazes, ils sont trop susceptibles de l’œuvre les confrères.
Le Bec, je ne savais même pas à quoi il ressemblait, je n’étais même pas allé le retapisser sur la toile, en bon gougnafier je ne l’avais pas googlelisé ! Alors j’ai vu surgir un bonhomme avec le poil blanc, l’air d’en avoir deux et les yeux vifs bien francs du collier.
- Ah Matthieu, je suis très content de t’avoir ici !
On s’est serré la louche, shake-hand façon Milord. Et c’est vrai qu’il avait l’air content le type.  Moi j’avais surtout les crocs, il était deux heures et je n’avais pas becqueté, mais je l’ai observé en loucedé. Oh vérole, mais c’est qu’il courait partout, veillait à tout, rameutait les gens, parfois ça faisait du suif, mais il n’y avait pas un accro.
Sur scène, il assurait pas mal aussi le camarade. Il avait le glaive vengeur et le bras séculier : La patrie en danger qu’il a dit, aux armes citoyens, sortez les picaillons, sinon le festival ira au tapis, on lui taillera un lardeus en sapin avec la boutonnière en cuivre. Moi les enterrements ce n’est pas mon truc, alors j’espère que son message est passé.
Parce qu’il est chouette ton festival, l’Oiseau (tu permets que je t’appelle comme ça, mon canard ?), on y boit sec (ça ne se dit pas, mais j’em… les hépatiques), on y fait de belles rencontres, on rigole, on parle, on branche le déconomètre, on est aussi sérieux, on jacte boutique (t’as vendu combien ?) et même on imagine des projets, des collaborations improbables… J’ai croisé un Sokal complice, un Bizien sarcastique, un Thiel juré (ça devait le changer le Juge), une paire de gonzesses en or (ma chauffeuse et ma barmaid)… J’ai assisté à des conversations improbables entre mon Flic favori, mon Cancès et Tony l’Anguille !
Il y en a qui veulent voir Naples (et calancher dans la foulée), d’autres ne rêvent que des nuits de Chine, moi je veux revenir à Cognac…
Voilà mon Nanard (tu permets que je t’appelle ainsi ? Non ? Bon alors Tapie pour moi !), ce que je n’ai pas eu le temps de te dire… Si tu le veux bien, je te fraternise, je t’accoladise, et je t’intronise (pas de sous entendus salaces les gugusses ), je te milordise ! Tu es un mec, un vrai, du grand calibre, un « beau mec », pas voyou pour un rond !
Merci Bernard !

Matthieu Frachon
Ex Grand Reporter, Auteur, Historien de la police
Membre de l’amicale des écrivains injustement méconnus